18 janvier 2009
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Le réseau international "Gender and Water Alliance" (GWA) et l'organisation Wetlands International Afrique, ont plaidé samedi soir à Thiès (70 km à l'est de Dakar), pour une meilleure prise en compte de la dimension genre dans les politiques et les pratiques en matière de gestion des ressources en eau et l’assainissement en Afrique.
La nécessité de l'implication des femmes dans la gestion de l'eau a été au coeur de toute une semaine de formation au profit de vingt "ambassadeurs Genre et Eau" pour la région francophone de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, qui a pris fin samedi au Centre forestier de recyclage de Thiès, avec des participants venus de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de l’Algérie, du Niger, du Togo, du Sénégal, du Mali, du Congo, du Bénin, du Burundi et du Rwanda.
La facilitatrice pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre de GWA, Margriet Reinders, a indiqué que ces "ambassadeurs Genre et Eau" ont pour mission de mobiliser l'engagement des décideurs politiques, des partenaires techniques et financiers, de la société civile, des communautés à la base, en vue d'une intégration transversale de la question genre dans le processus de développement et les politiques de l'eau dans leurs différents pays.
Les 20 ambassadeurs devront également proposer des plans d'actions pour la promotion du genre dans leurs pays respectifs, sous la supervision de GWA.
"La problématique de l’accès à l’eau potable est illustrative des disparités qui existent entre le hommes et les femmes et constitue un facteur aggravant de la pauvreté chez les femmes qui sont les premières utilisatrices de l’eau pour la consommation domestique", a soutenu, à l'occasion, le responsable de Programme de GWA, Charles Diémé.
12 janvier 2009
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Le présent forum vise à confronter la problématique du développement durable en zone péri urbaine et aux fondements même du développement endogène dans le contexte de globalisation, grâce au TIC, et à trouver et promouvoir des solutions pratiques.
Le forum sur les TIC permet d'informer les populations, acteurs locaux et entreprises sur les possibilités qui s'offrent à elles en matière de nouvelles technologie. Il s'agit aussi d'offrir des pistes de réflexion, d'échanger, d'apprendre, de rencontrer et de mettre en relation un certain nombre de personnes. D'une importance majeure, il permet de rendre visible les activités en lien avec les TIC.
D'après l'étude menée en Août dernier par l'ONG CAPDA dans les provinces de l'Ouest et du Nord-Ouest, le Sud par exemple, 10 familles sur 100 seulement possèdent un ordinateur à domicile, 17% de personnes rencontrées ont accès à un ordinateur et 0,8 % ont un accès à Internet. Le forum sur les TIC 2009 sera la suite d'un processus engagé par CAPDA et ses partenaires depuis 2003. Ce projet va contribuer à la mise en oeuvre du plan d'action du SMSI et notamment à :
v La sensibilisation à la problématique auprès des décideurs
v Le renforcement des capacités des populations cibles,
v L'information technique des collectivités locales et associations et en particulier les féminines...
Le projet touchera cinq typologies d'acteurs à savoir : les collectivités locales, les femmes chef d'entreprise, les paysans et les jeunes (élèves et étudiants) et les handicapés. Ces différents acteurs bénéficieront des activités de manière progressive.
Lieu et date : YAOUNDE 06 au 09 JUILLET 2009
Résultats attendus :