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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 11:30

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Yaoundé ( Mfoundi)- Des éclats de rire. Des applaudissements. Les élèves et le corps enseignant du lycée technique d'Ekounou sont contents. Fiers de réceptionner leur salle d'informatique. La cérémonie inaugurale de cette nouvelle acquisition a été organisée tout récemment au sein de l'établissement. Elle était présidée par Martin Lolo, inspecteur pédagogique national d'informatique, représentant du ministre des Enseignements secondaires.

Crée en l'an 2000, le lycée technique d'Ekounou compte aujourd'hui 1937 élèves, encadrés par 133 professeurs. Il est confronté à de gros problèmes infrastructurels. Notamment l'insuffisance de salles de classe, d'ateliers, de clôture, d'aire de jeu Il est également en litige foncier avec certains propriétaires de bâtiments construits à l'intérieur de son site. Des contraintes et biens d'autres insuffisances relevées dans le propos de Julienne Bekolo, proviseur de cet établissement. « Malgré le courage et la détermination de notre communauté éducative, notre établissement reste un vaste chantier qui, n'ayant pas reçu de BIP depuis cinq ans, fait face à d'énormes difficultés », a-t-elle mentionné entre autres.

Selon Julienne Bekolo, l'acquisition de ce jour s'inscrit dans le cadre d'un projet qui s'étendra encore sur deux autres années. A terme, il est question de doter le lycée d'ordinateurs en nombre suffisant et aussi d'avoir une réserve pour que cet outil, défectueux au cours d'une leçon, soit immédiatement remplacé. C'est le prix à payer pour s'arrimer à la modernité.

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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 11:06

BRUXELLES - Le ministres du Commerce des pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) ont accusé Bruxelles de vouloir évincer leurs bananes du marché européen au profit des bananes latino-américaines, s'interrogeant du même coup sur le "bien fondé" de leur partenariat avec l'UE.

"Le choix de la Commission européenne semble pour le moment sans équivoque: l'important et le plus urgent, c'est de paver la voie pour un accord à l'OMC et en passant, évincer les producteurs ACP du marché de la banane de l'Union européenne", ont déclaré les ministres dans une déclaration publiée mercredi.

Pour tenter de résoudre un litige sur les taxes à l'importation de bananes en Europe qui l'oppose aux pays latino-américains, l'UE a proposé en mars de baisser progressivement ces taxes de 176 euros la tonne actuellement à 114 euros la tonne en 2019, selon plusieurs sources.

Les Européens "semblent préoccupées par le respect de leurs engagements, mais seulement ceux pris vis-vis des partenaires les plus développés. Quant aux accords avec les pays les plus pauvres (...), il devient évident que l'UE ne se sent pas tenue par eux, ces pays n'ayant que peu de possibilités de prendre des mesures de rétorsion", ont ajouté les ministres, réunis mardi et mercredi à Bruxelles.

"Devant l'attitude de la Commission européenne au regard du traitement de la banane, les ministres ACP (...) sont en droit de s'interroger sur l'utilité et le bien fondé du partenariat avec l'UE", ont-ils ajouté.

Pour compenser les pertes de revenus liés à la baisse des exportations vers l'UE, les ACP réclament une aide "de près de 500 millions d'euros", "nécessaire pour éviter un cataclysme social et politique dans les pays ACP concernés" (Cameroun, Côte d'Ivoire, République Dominicaine, Belize, Surinam...).

La Commission européenne n'a selon eux proposé que 100 millions d'euros.

"Nous continuons à discuter avec eux", a répondu une source européenne, à la veille d'une rencontre des responsables ACP avec les commissaires au Commerce, Catherine Ashton, et au Développement, Louis Michel.

"Mme Ashton l'a dit: +nous ne ferons aucun accord qui rendra quelqu'un plus pauvre+", a ajouté cette source.

Selon les chiffres de l'Organisation Centrale des producteurs-exportateurs d'ananas et de bananes (OCAB), la totalité des exportations de bananes des pays ACP vers l'UE en 2008 (environ 920.000 tonnes) était inférieure aux exportations du seul Equateur (environ 1,3 million de tonnes) et très loin du total des pays d'Amérique latine (environ 3,9 millions).

(©AFP / 06 mai 2009 19h18)

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 11:38

Ce site Internet donne les outils pour tracer sa lignée.

Les Bassas sont-ils les descendants des pharaons d'Egypte comme certains se plaisent à le dire ? Avons-nous du sang bleu dans nos veines ? On s'est sans doute, un jour ou l'autre, demandé qui étaient nos ancêtres, sans pour autant chercher à en savoir davantage. Ceux qui rêvent de connaître leur origine et leur filiation seront sans nul doute intéressés par ce site Internet francophone. En effet, loin toutefois d'être le seul spécialisé dans ce domaine, www.guide-genealogie.com permet aussi bien au débutant de démarrer ses recherches que d'approfondir ses connaissances, pour bien mener à terme son arbre généalogique.

Comme son nom l'indique, ce guide, subdivisé en neuf composantes, fournit à l'internaute, les éléments nécessaires pour l'aider à chacune des étapes dans ses recherches. C'est-à-dire de la méthodologie à adopter en passant par les sources et les lieux de recherche jusqu'à la construction de l'arbre généalogique, grâce notamment à un logiciel qui permet de commencer ou poursuivre la construction de son arbre, et de gérer sa généalogie en ligne. A moins de les télécharger directement. Selon le site, la première question à se poser lorsqu'on veut savoir qui étaient ses ancêtres, est de se demander jusqu'à quelle époque on veut remonter pour tracer sa lignée.

Surtout que généralement, "on peut remonter jusqu'au XVIIème siècle" déclare Guide-genealogie.com. Toutefois, souligne le site, il est possible de remonter jusqu'au Moyen-âge. Mais tout dépend des archives disponibles et du milieu social et culturel. Par ailleurs, puisqu'il existe trois types d'arbre généalogique (le complet qui recense tous les ascendants ou tous les descendants d'une personne, l'agnatique qui ne prend en compte que les hommes et le cognatique ne prenant en compte que les femmes), cette question est d'autant plus intéressante que cadre le champ de recherches de l'internaute.

Même si le site propose des liens vers d'autres pages Web de généalogie, ainsi qu'un forum pour discuter des méthodes de recherche ou pour chercher une aide, il ressort qu'il reste référencé pour la plupart sur la France. En outre, compte tenu de la quasi absence des archives dans notre pays, il est fort probable qu'il soit plus fastidieux pour un Camerounais de tracer sa lignée qu'un Français disposant de toutes les ressources nécessaires. Sauf si ce dernier est décidé à savoir s'il a un quelconque lien de parenté avec Barack Obama avec qui il partage peut-être le patronyme.

Patricia Ngo Ngouem

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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 08:16
L'affaire qui le met en cause est liée à la visite papale
Je suis serein. Je n’ai tué personne. J’ai peut-être commis une faute de gestion en allant mettre de l’argent public dans un compte privé. Mais j’ai expliqué ce que j’ai fait de cet argent, et les gens ont vu les résultats. Je suis serein. Je suis justiciable. Et si la Justice de mon pays estime que j’ai commis un délit, je suis là.
Jean Pierre Biyiti Bi Essam, ministre de la communication



L’affaire remonte à la derrière visite papale au Cameroun. A cette occasion, les médias à capitaux privés principalement avaient critiqué la façon dont ils avaient été traités, et de fil en aiguille ont investigué sur la question. C’est ainsi qu’éclate au grand jour le scandale financier du ministère de la communication. Sur la sellette, Biyiti Bi Essam, ministre en charge de la communication. La question divise aujourd’hui la presse, bien que pour une grande partie, le ministre impliqué n'est pas totalement clair dans cette affaire. Le débat a pris une autre dimension avec l’intervention de la justice (police judiciaire et procureur de la république) qui a ouvert des auditions. Le ministre en plus d’avoir été entendu durant près de trois heures, a lancé une campagne médiatique de justification de son fait. Le journal le Fron parle d’une conspiration ethno-tribale dont serait l’objet l’homme Biyiti Essam qui semble ramer à contre courant de cette tentative de lobbying puisqu’il avoue lui-même la faute commise d’avoir fait transiter de l’argent publique dans un compte bancaire privé, en l’occurrence le sien.

L’opinion publique s’intéresse elle aux interviews accordées à BBC et au journal le Messager. On a semblé y entrevoir une campagne de charme auprès d’une presse privée camerounaise qui détient aujourd’hui une grande capacité d’investigation. Le ministre de la communication s’est donc justifié en expliquant au détail près non sans rajouter de petites anecdotes sur la façon dont a été gérés les fonds mis en cause il affirme ainsi être un citoyen ordinaire. Toujours à rechercher le crime commis. " Je suis serein. Je n’ai tué personne. J’ai peut-être commis une faute de gestion en allant mettre de l’argent public dans un compte privé. Mais j’ai expliqué ce que j’ai fait de cet argent, et les gens ont vu les résultats. Je suis serein. Je suis justiciable. Et si la Justice de mon pays estime que j’ai commis un délit, je suis là." dit-il. D’un autre coté il dit parlant de la presse privée "La façon dont vous me traitez ne montre pas que vous me considérez comme votre tuteur. Vous me traitez avec une brutalité inimaginable. Jamais dans ce pays, je n’ai vu une campagne de presse de cette nature contre un ministre en exercice. Et c’est votre ministre que vous jetez en pâture comme ça, pour des faits non avérés". Une affirmation qui a stupéfié beaucoup journalistes du privé qui se souviennent que pendant qu’ils serraient les poches l’office des radios et télévision officielles avait pour lui seul 400 millions de francs CFA. Des analystes de plusieurs médias locaux ont relevé que dans sa démarche médiatique, le ministre s’enfonce dans les soupçons qui pèsent sur lui.

 


Jean Pierre Biyiti Bi Essam, ministre de la communication
La façon dont vous me traitez ne montre pas que vous me considérez comme votre tuteur. Vous me traitez avec une brutalité inimaginable. Jamais dans ce pays, je n’ai vu une campagne de presse de cette nature contre un ministre en exercice. Et c’est votre ministre que vous jetez en pâture comme ça, pour des faits non avérés.
Jean Pierre Biyiti Bi Essam, ministre de la communication à propos de certains médias privés


Tout d’abord en recourant aux médias non pas pour exercer un droit de réponse mais pour se justifier auprès d’une opinion tant internationale que nationale, il a froidement ignoré une prescription qu’il avait lui-même fait sur la gestion médiatique des questions importantes et pendantes devant la justice. Or dans ce cadre l’enquête en est à son début et pourtant il s’est justifié ouvertement dans au moins deux médias. De même dans l’interview accordée au journal le Messager, les faits relatés laissent beaucoup d’analystes interrogateurs. A quoi par exemple ont servi les écrans plats qui sont utilisés de manière optimale la nuit dans un évènement qui se passait principalement en journée? Pourquoi faire passer l’argent dans un compte privé alors même que le trésor public possède des coffres forts appropriés et adaptés ? Plusieurs autres incohérences de cette nature existent et n’ont pas fait l’objet de réponses claires.

Le ministre a enfin admis une autre faute dans cette interview, il reconnaît avoir reçu des cadeaux d’opérateurs privés exerçant sous le contrôle du ministère des postes et télécommunications ou il était précédemment en fonction comme secrétaire général. A se demander s’il s’est rendu compte qu’il avouait là une autre faute lourde dans l’exercice des fonctions administratives. Le débat est encore ouvert auprès des autorités judiciaires; mais le ministre Biyiti aura au moins compris qu’à défaut de ne pas soutenir les médias privés au Cameroun, il vaudrait mieux ne pas leur manquer de respect. La liberté de la presse a gagné le milieu, et avec elle une plus grande ouverture d’esprit
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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 14:22
A petits pas, le Cameroun construit la dorsale nationale devant assurer l’interconnexion entre ses chefs-lieux de régions, départements et arrondissements.


5 600 Km. C’est la longueur nécessaire pour le déploiement de la fibre optique à travers le Cameroun. La fibre ainsi déployée devrait permettre la réalisation d’une dorsale nationale de transmission appelée « Backbone ». L’entreprise « Cameroon telecommunications (Camtel) est chargé de réaliser ce Backbone à utiliser par tous les opérateurs des télécommunications », indique le coordinateur du Groupe de travail Camtel (Gtc), Ebongo Aboutou Albert. La première phase de ce projet prévoit le raccordement des dix capitales régionales du Cameroun. Mais pour l’instant, seules les dorsales D1 (Douala-Edea-Nkondjock-Matomb-Mbankomo-Yaoundé) et D2 (Douala-Mbanga-Nkongsamba-Bafang-Baham-Bafoussam-Bandjoun-Bangangté-Bafia-Obala-Yaoundé), sont interconnectées.
L’échéance de 2009, prévue pour la première phase du projet, ne sera pas respectée, de l’avis de l’ingénieur des télécommunications, Ebongo Aboutou Albert. Ce pour diverses raisons. D’abord la nécessité de revoir le projet élaboré quelques années plus tôt avec le ministère des Postes et télécommunications (Minpostel). Le coût de construction du Backbone y était estimé à environ 76 milliards Fcfa. Un budget qui ne peut plus suffire parce que certaines liaisons, prévues par voie hertziennes, ont été annulées au profit de la fibre optique. C’est le cas entre Buea et Bamenda, ou encore Bafoussam et Ngaoundéré. « La faible capacité du faisceau hertzien ne peut pas nous aider en cas de rupture d’un câble », justifie Ebongo Aboutou A.
La disponibilité des financements constitue un autre blocage. Ce qui retarde le lancement du tronçon Bafoussam-Mbouda-Bamenda avec une extension vers Dschang. La plus grosse inquiétude est liée au réseau routier national. Il est prioritaire selon Camtel, de poser la fibre optique le long des routes. La ville de Ngaoundéré dans l’Adamaoua devra donc attendre qu’une route la relie à Meiganga où passe la fibre optique installée le long du pipeline Tchad-Cameroun. Ou alors qu’un axe bitumé parte de Ngaoundéré pour Bafoussam via Foumban et, Banyo et Pang. Et pire encore, le câble connectant Garoua et Maroua partira de la capitale de l’Adamaoua.
Pour ce qui est de la région du Sud, « on est déjà à Mbalmayo et on pourra traverser le Nyong la semaine prochaine », annonce le coordinateur du Gtc. Les travaux qu’il évoque vont se prolonger vers Sangmelima d’une part, et vers Ebolowa d’autre part. L’objectif étant de rallier les frontières du Gabon, du Congo et de la Guinée équatoriale. Cette phase des travaux est appuyée par l’assistance de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement. Car le Cameroun de part sa position stratégique va servir de point d’accès à la fibre optique pour les trois pays suscités, mais aussi le Tchad, la Centrafrique et la République démocratique du Congo.
Notre ingénieur espère que « en fonction de l’évolution des travaux, nous auront réalisé la phase I du Backbone national en 2012 », soit environ 3 000 Km de câble. Les entreprises Sagem et Alcatel effectuent ces travaux, en plus de Camtel. Selon notre source, aucune entreprise camerounaise ne s’était manifestée durant les appels d’offres. C’est dans la même lancée qu’on remarque le faible nombre de techniciens camerounais formés en la matière. Camtel ne dispose que de 6 ingénieurs capables de relier les câbles de fibre optique. On peut tout de même se réjouir ici du fait que la fibre optique a « plus besoin de surveillance que de maintenance ».
 

Par Edouard TAMBA-le messager
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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 14:14

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Aujourd'hui, dans le système scolaire camerounais, l'apprentissage de l'informatique est une réalité. Même chez les tout petits de la maternelle, l'informatique est démystifiée. On regrette seulement une chose : l'utilisation de cet outil dans la gestion administrative de la plupart de des établissements reste exceptionnel. Et pourtant, personne n'ignore ses exploits en termes d'efficacité, de gain de temps, de fiabilité.

GES, de l'avis de son concepteur des quotas horaires hebdomadaires par enseignant et par classe ainsi que de l'ordre de priorité des matières. Guy Olinga affirme s'être lancé dans le développement de GES en 2004. Le logiciel intègre le suivi de toutes les activités récurrentes dans l'administration et la gestion d'un établissement scolaire.

On apprend que première mouture de GES est proposée au proviseur du lycée de New-Bell (Douala) en 2006. Un an plus tard, ce sont les lycées bilingues de Bekoko et de Nyalla qui s'engagent à éprouver le logiciel. Avec le concours de ces trois proviseurs que l'ingénieur qualifie d'exigeants en matière de qualité, GES est modelé pour répondre aux réalités des établissements scolaires camerounais. A ce jour, cet outil serait aussi utilisé par le Collège King-Akwa

Le souci est d'accompagner les chefs d'établissement dans leurs tâches quotidiennes avec un instrument plus performant. Avec GES, on entend mettre un terme à la lourdeur et au long temps consacré aux tâches administratives, à l'interruption des cours à cause de la production des bulletins de notes, aux erreurs de notes, à la production des statistiques approximatives et sans analyses graphiques, à la gestion cahin-caha des archives, à la confection manuelle des bordereaux aux examens officiels, au suivi manuel des scolarités, à la confusion dans le suivi analytique des consommations du matériel didactique, etc. GES est bilingue, Français/Anglais.

On dit qu'il est facile d'installation et d'utilisation. En matière de sécurité, l'éditeur de GES a installé quatre niveaux de verrou. Il y a le traditionnel mot de passe. Mais il est surtout prévu que chaque enseignant utilisateur soit limité à ne traiter que les notes des élèves des classes qu'il tient et le tout limité à sa matière.

Pour l'année scolaire 2009-2010, Guy Olinga offre gratuitement GES à tout établissement de moins de 1000 élèves. Il justifie sa générosité : « C'est ma manière de dire merci à l'Etat camerounais pour m'avoir octroyé une bourse d'études en RFA de 1986 en 1993. J'en suis revenu avec un diplôme d'ingénieur informaticien. En plus, je veux être utile à ma génération et à mon prochain.»

Il affirme aussi que ses moyens financiers et logistiques sont limités pour satisfaire la demande potentielle en termes de distribution et d'accompagnement des établissements preneurs. C'est pourquoi il lance un appel à sponsors à toute entreprise citoyenne. GES est distribué bénévolement par Cameroon Software Distribution, email : cameroonsoftwaredistribution@yahoo.fr. Le logiciel peut aussi être téléchargé sur Internet sous le lien http://www.toocharger.com/telecharger/logiciels/ges/36298.htm

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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 14:07

Mais cette diffusion concerne uniquement les villes de Yaoundé et Douala

C’est une véritable révolution à la Crtv, la Cameroon Radio Télévision qui va dès le 1er mai 2009, offrir aux téléspectateurs, des programmes en continu, c’est-à dire le 24h/24. Au siège de la télévision nationale c’est la grande effervescence, les techniciens sont à pied d’œuvre pour éviter tout dérapage le 1er mai 209. C’est ce qui peut d’ailleurs expliquer l’arrêt des programmes constatés ce matin du 30 avril 2009 par les téléspectateurs de la chaîne nationale. La nouvelle diffusion des programmes de la Crtv ira de 2 heures à 6 heures du matin. Donc on aure une diffusion en continu sans arrêt. IL faut dire que c’est depuis le 13 février 2006 que la Crtv diffuse ses programmes de 6heures à 2heures du matin. Ces programmes sont constitués en fait des journaux parlés en langues française et anglaise, des documentaires des magazines, des programmes de divertissement quelques films séries et téléfilms du Cameroun et d’ailleurs. Cette nouvelle diffusion de la Crtv intervient au lendemain du lancement de la nouvelle grille des programmes de l’office par le directeur Général en personne dans la Capitale économique, Douala. L’on se souvient qu’au cours de la soirée de présentation des programmes, les téléspectateurs avaient émis le vœu de voir leur chaîne nationale émettre en continu comme le font déjà les télévisions privées locales bien que dépourvues de gros moyens. Le Directeur Général de la Crtv Amadou Vamoulké, les avait rassurés par une promesse qui se concrétise aujourd’hui, surtout dans le but de mettre en lumière le saut qualitatif auquel il tient tant.

 

A Mballa II, siège de l’office, l’on justifie ce 24/24 par la volonté d’assistance des noctambules et travailleurs du service public qui n’ont pas toujours un outil de divertissement aux heures tardives. Même les inconditionnels de la télé vision nationale, étaient toujours contraints de zapper leur chaîne préférée pour se câbler sur Canal2 international, Ariane Tv, SambaTv, des chaînes locales qui émettent 24h/24. A MballaII, une source indique que cette diffusion en continu ne concerne malheureusement pas l’ensemble du territoire national. En effet le 24h/24 de la Crtv, va uniquement se limiter à la capitale politique Yaoundé et la Capitale économique Douala. Les populations des 8 autres régions du pays devront encore attendre. Amadou Vamoulké le DG de la Crtv justifie cette " diffusion spéciale " par la vétusté du matériel technique qui ne peut donc pas supporter une large couverture en continu. Par ailleurs au sein de l’office, l’on se console du fait que c’est dans ces deux villes que la Crtv a un matériel plus performant, que les activités sont plus intenses et où les populations ont plus besoin d’assistance médiatique nocturne. Mais aucune nouvelle émission n’entre dans cette nouvelle diffusion. Il s’agira beaucoup plus de rediffusion de certains programmes phares de la journée ou de la semaine tels que Bonjour Hello. Pour ce qui est des sessions d’informations, la Direction de l’information pourra soit rediffuser les journaux télévisés de la journée ou ceux du prime time ou encore créer d’autres sessions d’informations dont la gestion pourra être confiée de façon rotative à certains reporters. L’espace de 2h à 6h devra également être meublé par des fictions, séries etc. Selon le sous Directeur des programmes à la télévision, Jean Materne Ndi, dont l’émission QSD(Que Sont-ils Devenus) est pratiquement absente du petit depuis des mois sans explication, la diffusion en continu sera facilitée par le système de l’automatisation de l’antenne, ce qui selon, lui ne mobilisera pas assez de ressources humaines pour le suivi de la diffusion. En d’autres termes, des émissions seront programmées et diffusées par un système de diffusion automatique. La nouvelle diffusion de la Crtv est diversement appréciée. Car même si le Directeur Général annonce qu’elle s’étendra progressivement dans d’autres régions du pays, de nombreux téléspectateurs parlent de marginalisation et de frustration.
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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 14:00

Cameroon Tribune (Yaoundé)

L'Internet mis au service d'une communication plus percutante sur le Cameroun en marche. «Le Cameroun en marche». Ainsi s'intitule le site Internet dont la construction et la mise en ligne ont été annoncées avant-hier par le secrétariat général de la présidence de la République. En entrant l'un ou l'autre des noms de domaines suivants : www. camerounenmarche.cm ou www.cameroononthemove.cm, les internautes peuvent désormais accéder au site présentant les réalisations, les réformes et les projets de la politique des Grandes ambitions conçue et mise en oeuvre par le Président Paul Biya.

Tandis que www.prc.cm est un site généraliste sur les activités de la présidence de la République, le second propose un contenu essentiellement audiovisuel, avec des chaînes de vidéos d'activités du chef de l'Etat.

Le dernier né des sites Internet de la présidence se présente d'emblée comme le site web des Grandes ambitions. Dès la page d'accueil, le mot de bienvenue annonce la couleur. Au travers de ce site, il s'agit de présenter au visiteur les réformes en cours ou à venir, de lui expliquer et de lui donner à voir les principales réalisations qui témoignent de la vitalité du Cameroun.


Le soin particulier a été mis dans l'architecture et l'ergonomie du site assure à l'internaute une navigation aisée. Un clic sur les chaînes permet d'accéder aux informations essentielles sur les réformes et réalisations du Cameroun classées par secteurs. Des liens permettent de visionner la vidéo de présentation des différentes réformes et réalisations.

Ces liens renvoient vers les rubriques principales que sont : les Objectifs, les Institutions, les Régions, les Infrastructures, l'Economie, l'Education, la Santé, les Télécommunications. L'internaute peut à loisir lire, imprimer ou télécharger les documents déclinant les réformes et les réalisations.

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 09:24

Assistance technique et financière à la décentralisation, promotion de la société civile, lutte contre le VIH/SIDA et gestion des ressources naturelles sont quelques actions prioritaires menées par Le Deutscher Entwicklungsdienst (DED) ou service allemand de développement.

Présent au Cameroun depuis 1965, le DED est un service d’envoi de personnel et d’appui au processus de développement des pays étrangers. Elle est engagée dans des secteurs prioritaires définis au préalable par le gouvernement camerounais en concertation avec le gouvernement allemand. Les zones d’intervention concernent trois secteurs. Le premier secteur est la décentralisation, le développement local et la gouvernance. Le deuxième secteur est la gestion des ressources naturelles et le développement rural et le dernier secteur santé avec la lutte contre le Vih-Sida. Et le troisième secteur est la gestion des ressources naturelles et le développement local.
En Novembre 2003, le Cameroun et l’Allemagne ont adopté une stratégie commune : « Décentralisation, Développement local et gouvernance » en vue de soutenir le processus de décentralisation et d’améliorer les conditions de vie des populations dans les communes. Cette stratégie est opérationnalisé par le Programme d’Appui à la Décentralisation et Développement Local (PADDL) qui est un programme mené par le DED, la Coopération Technique Allemande (GTZ) et le Banque Allemande de Développement (KfW). Trois régions bénéficient du PADDL. Il s’agit du Centre, de l’Ouest et de l’Extrême Nord. En ce qui concerne le travail concret du DED dans le PADDL, il met des assistants techniques à la disposition des agents communaux, des élus et des administrations communales. Ces assistants techniques leur offrent l’appui à une formation sur la décentralisation et la gouvernance locale. En outre, le DED soutient les Communes et Villes Unies du Cameroun (CVUC) et le Centre de Formation pour l’Administration Locale (CEFAM). Ceci, dans une stratégie d’améliorer l’organisation institutionnelle.

 


En ce qui concerne la promotion de la société civile, le DED appuie les organisations qui y sont liées. La méthode du DED est la même que l’appui à la décentralisation puisqu’il met à la disposition des ces organisation des experts qui assurent les formations de leurs membres dans plusieurs domaines : le développement, la gestion des finances et du personnel, la conception et la réalisation des programmes et des projets, la planification, le suivi et l’évaluation, la communication externe et interne, le plaidoyer et le lobbying et enfin le dialogue et la coopération avec le secteur public. A cet effet, le DED offre trois types d’appui à ses partenaires : l’assistance technique d’1 à 3 ans aux organisations qui en font la demande, la possibilité d’une subvention salariale, pour une durée déterminée, aux experts nationaux employés dans les organisations partenaires et enfin, le DED cofinance des petits projets des organisations partenaires.

Pour ce qui est du secteur sanitaire, les assistants techniques du DED travaillent depuis 2006 pour soutenir la Stratégie Nationale de Lutte contre le Vih. Sa contribution se concentre sur l’augmentation des préservatifs disponibles, l’organisation des campagnes de sensibilisation, la mise sur pied d’un réseau avec l’association des personnes vivant avec le Vih, les Ong, les personnes ressources et les communes, l’appui au renforcement de l’organisation et le management de la structure du Marketing Social. Autant d’actions qui visent à réduire la maladie dans les Régions du Littoral, du Nord, de l’Extrême Nord, de l’Adamaoua, de l’Ouest et du Nord-Ouest.

Pour ce qui est enfin du secteur « Gestion des Ressources Naturelles et Développement Rural », le DED encadre des activités de gestion des ressources naturelles pour harmoniser la protection des ressources naturelles avec le développement rural. Ces actions s’inscrivent dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme Sectoriel des Forêts et de l’Environnement
(PSFE) en partenariat avec le Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF) et le Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature (MINEP). Le maintien des écosystèmes de haute valeur à travers l’intégration et la participation de la population, la gestion durable des ressources forestières et exploitation soutenue des produits forestiers, l’amélioration des conditions cadres pour l’utilisation des ressources forestières, la promotion des sources de revenu alternatives sont quelques objectifs poursuivis par le DED dans ce secteur.

Partenaire pour le développement du Cameroun, le DED est une société civile à responsabilité reconnue d’utilité publique. Il est financé par le budget fédéral d’Allemagne et fait partie de la coopération allemande en étroite collaboration avec la Coopération Technique Allemande (GTZ) et le Banque Allemande de Développement (KfW). La directrice actuelle du DED au Cameroun est madame Maria WEITZ.

Par Mohamadou Houmfa - 12/02/2009/journal du cameroun.com
Des actions prioritaires sont menées par Le Deutscher Entwicklungsdienst (DED



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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 08:30
Plus de 1200 puits en 20 ans. Du sourire aux familles et plusieurs initiatives de développement. Les actes posés par le Projet eau potable de la mission catholique de cette localité sont élogieux. En 1989, lorsque le Projet eau potable (PEP) est lancé par la mission catholique d'Otélé, un village situé à environ 60 kilomètres de Yaoundé, l'objectif est d'installer deux puits dans chacun des 22 postes qui constituent ce grand village. Aujourd'hui, 20 ans après, on dénombre exactement 1202 puits aménagés. Et plus de 3000 âmes qui vivent à Otélé, les populations d'autres villages, situés hors du département de la Mefou-et-Akono, notamment dans la Lekié (Okola, Sa'a, Obala), en bénéficient également chaque jour. Qu'on parte de Ngoumou ou d'Ebebda sur l'axe Yaoundé-Douala pour se rendre à Otélé, on aperçoit toujours un puits fontaine, dressé dans sa robe de métal peinte en bleu tous les 1,5 km environ. Dans un endroit a priori désert ou dans une cour, parfois de récréation, où des enfants, par dizaines, peuvent se désaltérer allègrement, surtout par ces temps de chaleur. Et les populations ne boudent pas cette manne de la terre. Des puits creusés en moyenne à une quinzaine de mètres de profondeur, munis de buses pour protéger l'eau du sol, et couvert afin de garder le liquide vital à l'abri des impuretés de la nature. Et ces ouvrages ont la peau dure. Tenez par exemple, le premier puits inauguré en novembre 1989 à l'école primaire catholique Saint Pie X n'a rien à envier au dernier du coin aménagé en fin 2008. Mais il y a vingt ans, tout n'était pas aussi gai et facile. Si le coin regorge de beaucoup de points d'eau, la qualité de celle-ci n'était pas vraiment garantie. De plus, il fallait parcourir de longues distances pour en avoir. « Les populations, surtout les enfants, souffraient énormément des maladies de l'eau et en mouraient », raconte un habitant de la localité. De nos jours, selon le père bénédictin Urs Egli, initiateur du PEP, les centres de santé se sont complètement vidés de ce genre de patients. Et il n'y a pas que la santé retrouvée pour faire le bonheur de ces populations, qui vivent en parfaite harmonie. Le PEP a généré non seulement de nombreux emplois, mais aussi d'importantes initiatives de développement socio-économique. En terme d'emplois directs, 20 natifs d'Otélé travaillent à temps plein pour le projet et une trentaine d'autres sont recrutés en fonction des travaux et toujours sur le site d'un puits à creuser. Pour ce qui est du développement, des pépinières de palmiers, des jardins potagers, des élevages de volaille et de boeuf, des palmeraies, des pressoirs à huile, etc. ont vu le jour avec l'arrivée des milliers de puits. « L'extraction de l'huile de palme nécessite énormément d'eau. Maintenant, nous pouvons le faire sans nous déplacer vers les marécages où nous courions le risque de nous faire mordre par des serpents », affirme Jean Claude Kinyock, cultivateur. Sur le plan social, on note comme avantage de ce projet, le regroupement des populations en communautés, la conscientisation sur l'autopromotion, l'intégration de l'habitat rural et la diminution de l'exode rural. Une centaine de puits en attente Si le plus gros du financement et de l'installation du puits est assuré par le PEP, grâce au soutien de la fondation suisse Saint Martin, la communauté bénéficiaire assure sa quote-part. Il s'agit pour l'essentiel de 15 à 20 % du coût de réalisation du puits (6 millions de F), en plus des frais de prospection. Les villageois doivent aussi prendre en charge l'hébergement et la nutrition des techniciens pendant les travaux, mais également un appui en ressources humaines. On n'oublie pas le gouvernement camerounais qui, à travers un accord de coopération signé en 1993 avec la fondation St Martin, garantit des facilités douanières et fiscales pour l'importation des équipements techniques essentiels. Liens Pertinents * Afrique Centrale * Cameroun * Développement Durable * Eau et Hygiène Cependant, ce projet, qui est traité ici comme une flamme par temps de froid, risque de s'éteindre à un pas de la maturité, parce pas un seul puits n'a été installé depuis novembre 2008, alors que la fréquence habituelle, selon Louis Stadelmann, directeur technique du projet, est de deux par semaine. En effet, trois des quatre camions du PEP, servant à transporter le matériel lourd tel que les buses et les dalles, ont leur volant à droite et n'ont plus le droit de circuler au Cameroun. Et une centaine de demandes de puits sont en attente d'exécution, dont une commande de trente en provenance de l'Union européenne. De même que des travailleurs en chômage technique. Si les camions ne peuvent pas circuler, les techniciens chargés de la fabrication des buses (éléments indispensables pour la protection de l'eau du puits), n'ont plus de raison de travailler, puisque ces produits ne peuvent être transportés. A méditer
Cameroun tribune
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