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Dérniers Infos TIC & Developpement

Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 07:12

afrique_telecom_ngnSelon une enquête sur "le développement des télécommunications en Afrique", le marché africain enregistre une croissance de 49,3% depuis l'année 2002.

Le marché du mobile en Afrique sub-saharienne (hors Maghreb et l'Ile Maurice) enregistre depuis 2002 la croissance la plus rapide au monde, selon une étude réalisée par la cabinet d'audit Ernst & Young sur "le développement des télécommunications en Afrique.

Depuis 2002, le marché africain enregistre une croissance de 49,3%, là où le marché français des télécommunications n'enregistre qu'un taux de croissance annuel pondéré de 7,5%, le Brésil est à 28% et l'Asie à 27,4%, révèle l'enquête .

Un taux de pénétration qui pourrait passer de 37 à 61% d'ici 2018

Concernant le taux moyen de pénétration du mobile sur le continent noir : le taux moyen de pénétration du mobile en Afrique qui "se situe à 37% pourrait passer à 61 % d'ici à 2018", poursuit le rapport, présentant l'Afrique noire comme étant à "l'avant-garde de la révolution des télécommunications".

En dépit d'un handicap en termes d'infrastructures et des coûts des production élevés, la croissance des télécommunications "a été soutenue par des économies africaines marquées par le boom des matières premières et la libéralisation accrue des marchés", explique Serge Thiémélé, responsable africain de "Global télécommunication Center, du cabinet initiateur de l'étude.

Un marché réparti sur trois catégories

Le marché du mobile africain se répartit en trois marchés selon l'étude : les marchés développés (+ 50%) qui regroupent 11 pays, les marchés émergents (20 à 49%), les plus nombreux, qui comptent 27 pays et les marchés vierges (- 20%) qui regroupent 19 pays",

Pour maintenir cette croissance, le secteur doit fait face à de nombreux défis, notamment la disponibilité des "ressources humaines de qualité" et les problèmes liés aux coûts de production : "Aujourd'hui, les opérateurs vont dans des zones où il n'y a pas d'électricité, il faut des groupes électrogènes et cela coûte cher. Il y a aussi des problèmes de sécurité donc il faut embaucher des gardiens, installer des systèmes d'alarme", explique M. Thiémélé.

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 06:55

Le Cameroun disposerait-il du plus grand gisement de diamant au monde ? Oui, dit l’entreprise coréenne qui bénéficie d’un permis d’exploration. Je ne sais pas, répond le gouvernement. Epais mystère.

Badel Ndanga Ndinga : « De l’annonce qui a été faite à la réalité, il y a encore un long chemin à parcourir. »

 « De l’annonce qui a été faite à la réalité, il y a encore un long chemin à parcourir. »

 

Qu’en est-il de la réalité du gisement de diamant camerounais ? Traditionnellement, peut-être pour entretenir l’espoir des populations durement éprouvées par les difficultés du quotidien, les gouvernements africains sont prompts à annoncer les découvertes de ressources minières. Le Cameroun vient de déroger à cette règle. Il fait preuve de prudence et de circonspection, alors que le partenaire étranger, le coréen C&K Mining, multiplie les effets d’annonce. Et c’est ainsi un quotidien sud-coréen, Korea Times, qui a donné la nouvelle. La très bonne nouvelle.

« Dans cette information qui a été relayée et que j’ai lue, il y a aussi un peu d’intoxication, parce qu’on a parlé de la répartition de 20%. Ce qui est complètement faux. La société C&K Mining n’en est qu’à la phase de recherche, de prospection. »

Le Cameroun disposerait de la plus grande réserve de diamant du monde. Environ 736 millions de carats, soit cinq fois la production annuelle mondiale de diamant ! 6 millions de carats pourraient être extraits chaque année. Les mines se trouveraient dans le sous-sol de Mobilong et Limokoali, à l’est du pays. C’est en 2007 que la présence de cette importante quantité de diamant a été confirmée.

Selon le journal coréen, la découverte a été faite par une mission d’exploration de géologues, conduite par le Dr Kim Won-Sa, un géologue coréen, professeur à l’Université de Chungnam. Ses recherches avaient été financées par l’un des plus gros joueurs de l’industrie diamantifère, la C&K Mining. Celle-ci a rapidement crée une joint-venture avec l’Etat camerounais pour l’exploitation de la découverte. Le PDG de la joint-venture, Duk-Kyun Oh, indique dans le quotidien coréen que l’entreprise va investir 500 milliards de FCFA (750 millions d’euros) sur 25 ans et générer 4000 emplois.

 

Silence camerounais

L’entreprise coréenne a remis un rapport d’exploration au gouvernement camerounais en mars 2008 et attend toujours sa réponse. Cela n’a toutefois pas empêché le ministre camerounais de l’Industrie, des Mines et du Développement technologique, Badel Ndanga Ndinga, de diriger une délégation camerounaise qui a assisté à la session d’information tenue à Séoul, en présence d’environ 200 experts, fonctionnaires et hommes d’affaires.

En revanche, le ministre s’est fait fort de nuancer, à défaut de démentir, l’annonce coréenne. « Je n’ai pas d’éléments de contradiction. Leurs recherches sont faites par les plus grands géologues de ce monde. Mais, à ce stade, je ne peux rien confirmer. »

M. Ndinga a été plus direct, s’agissant de l’exploitation. « La société C&K Mining est bénéficiaire d’un permis d’exploration dans cette zone. De l’annonce qui a été faite à la réalité, il y a encore un long chemin à parcourir. Dans cette information, qui a été relayée et que j’ai lue, il y a aussi un peu d’intoxication, parce qu’on a parlé de la répartition de 20%. Ce qui est complètement faux. La société C&K Mining n’en est qu’à la phase de recherche, de prospection. » La partie coréenne doit donc attendre la négociation d’une convention minière, puis le décret qui permettra l’exploitation.

Sur les investissements annoncés par C&K Mining, le ministre souligne que « dans la phase d’exploration, toutes les dépenses sont faites au risque de la société, qui peut ne rien trouver. Le code minier prévoit trois ans pour cette phase d’exploration. C’est une durée renouvelable. La société C&K Mining Co a eu son permis d’exploration en 2007. Elle peut arriver à la fin du contrat et demander une extension ou le renouvellement pour poursuivre ses investigations si elles ne sont pas terminées ».

L’information s’avère donc devoir être prise avec circonspection. Il serait très étonnant qu’une telle réserve ait pu être ignorée de la France, présente depuis des siècles, et de toutes les entreprises diamantifères occidentales et sud-africaines. Mais le miracle intervient parfois.

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 06:52

Le réseau Ctphone de Camtel (Cameroon Telecomunications) est désormais disponible dans les villes de Maroua, Mokolo, Mora, Kousseri et Yagoua. Cet opérateur a procédé conjointement à l’installation de la nouvelle représentante régionale de Camtel au lancement du produit Ctphone dans l’Extrême-Nord le 11 juin 2009 à Maroua. C’est le gouverneur de la région de l’Extrême Nord Ahmadou Tidjani, qui a officiellement installé dans ses fonctions de nouvelle représentante régionale de Camtel Mme Fadimatou Aboubakar, nommée à ce poste depuis le 21 novembre 2008. La cérémonie qui avait pour cadre la place des fêtes de Maroua s’est déroulée en présence du Directeur général de Camtel David Nkoto Emane. En l’installant dans ses fonctions, Ahmadou Tidjani a demandé à la nouvelle représentante de veiller scrupuleusement à la sécurisation du réseau existant afin de garantir des services de qualités aux clients en même temps qu’il a appelé au sens civique de toutes les populations bénéficiaires des services Camtel. Il fait ainsi allusion aux vandales qui n’hésitent pas à sectionner les fils et les câbles de téléphone pour d’autres fins.
Mme Fadimatou Aboubakar dont le gouverneur a vanté tant les mérites, les aptitudes que la solide expérience qu’elle a, a été invitée à être assidue, ponctuelle et pro active, toujours à l’écoute de la clientèle. Elle a d’ailleurs le profil de l’emploi. Née le 1er novembre 1968 à Guider, elle obtient un baccalauréat A4 au lycée de Maroua en 1989 puis une licence en sciences économiques en 1992 à l’université de Yaoundé. Aussitôt entrée à l’école nationale supérieure des postes et télécommunications, elle en sort nantie du diplôme d’inspecteur des télécommunications. Sa carrière professionnelle hors de Yaoundé se solde par sa nomination comme représentante régionale de Camtel pour le Nord le 25 janvier 2006 et c’est le 21 novembre 2008 qu’elle a été choisie pour implanter le Ctphone, nouveau produit de Camtel dans la région de l’Extrême Nord.

Réduction de la fracture numérique
Le Ctphone justement qui a été lancé ce même 11 juin par le directeur général de Camtel David Nkoto Emane. Déjà, cinq départements sur les six que compte la région sont connectés au réseau Ctphone. "Je suis venu à Maroua avec les équipements de Kaélé, seul chef-lieu de département non couvert à ce jour. Notre ambition à court terme, c’est de connecter toutes les unités administratives sans exception aucune au réseau Ctphone. Nous voulons ainsi démonter notre fierté d’entreprise citoyenne", a confié le directeur général. Pour ce lancement, une campagne promotionnelle du Ctphone va durer pendant un mois sur l’étendue de la région, le CTphone baladeur avec abonnement et un crédit de 1 000 Fcfa va s’obtenir au prix de 11 000 Fcfa et le poste sans fil avec abonnement gratuit, kit Internet gratuit et un crédit de 1 000 Fcfa va coûter 20 000 Fcfa. Le Ctphone est un téléphone fixe sans fil issu de la troisième génération qui allie aussi Internet et transfert des données. Le gouverneur a félicité l’entreprise Camtel qui vient ainsi participer efficacement à la réduction de la fracture numérique dans la région. Camtel qui a été créé par décret présidentiel du 8 septembre 1998 était depuis longtemps inscrite dans le registre des sociétés d’Etat à privatiser. Apres plusieurs tentatives infructueuses, l’Etat a donc décidé de le conserver dans son portefeuille et d’en faire une entreprise citoyenne.
 

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:43
orange_enseigneL'opérateur veut sa part du gâteau en créant ou en rachetant une plate-forme existante.

Le succès des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter donne des idées à Orange. Il faut dire que les audiences massives de ces plates-formes suscitent des convoitises, du coup, l'opérateur historique envisagerait de se lancer dans la course.

"A la fin il faudra qu'on ait quelque part un réseau social", car "c'est là qu'il y a de la valeur", a expliqué Didier Lombard, p-dg d'Orange lors d'un entretien accordé à BFM. Une attitude logique : Orange axe désormais sa stratégie sur les contenus à valeur ajoutée pour se démarquer de la concurrence. Comme le cinéma ou le sport, les réseaux sociaux peuvent en effet constituer un bon produit d'appel. "Tous les autres acteurs se mettent sur nos réseaux et cherchent à tirer de la valeur de nos réseaux. Si je ne participe pas au festin, à la sortie je termine mal", a justifié Didier Lombard. "Les contenus constituent l'oxygène [des] réseaux", affirmait-il il y a peu.

Modèle économique à trouver

Deux solutions se présentent pour Orange : racheter une plate-forme existante ou en créer une de toute pièce. Le choix n'a pas encore été validé mais il est désormais prouvé que les applications propriétaires lancées par les opérateurs ne font pas le poids face aux services mondialement connus. L'opérateur aurait donc tout intérêt de se rapprocher d'un site existant pour séduire.

Par ailleurs demeure le problème de la monétisation, car si ces plates-formes sont de formidables aspirateurs à audience, ils ne génèrent pour le moment que très peu de chiffre d'affaires. Si Didier Lombard estime que ces services sont créateurs de valeur, il lui reste à trouver le modèle économique qui pour le moment leur fait défaut.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:40
Alors que la France tente de lutter contre le piratage des œuvres de l’esprit sur Internet, l’on constate que le téléchargement illégal des musiques s’étend jusqu’au Cameroun
Par Redaction Bonaberi.com (Anne Mireille Nzouankeu)

Des pancartes sur lesquelles on peut lire « téléchargement de sons et sonneries » sont visibles un peu partout dans la ville de Yaoundé. Il s’agit du transfert d’une musique ou d’une vidéo, d’un support à un autre. Ce transfert du vendeur au client n’est pas gratuit : le client doit débourser 100 fCFA par chanson téléchargée et 200fCFA par vidéo. Le problème est que l’auteur de la musique ou de la vidéo téléchargée ne perçoit rien en retour : il s’agit là d’une forme de piraterie.

Le téléchargement des musiques et vidéos se fait via internet sur des sites bien connus des pirates. Toutefois, « il y a trop de virus qui circulent sur ces sites là au point où nous avons été obligé de changer de méthode » déclare un jeune, spécialisé dans le dépannage des téléphones portables et le téléchargement des sons. La nouvelle méthode consiste à « récupérer les musiques et vidéos sur CD et DVD, les conserver sur un ordinateur pour ensuite les transférer sur le support du client » ajoute notre interlocuteur.


Les supports les plus répandus chez les clients de ces pirates sont les téléphones portables, les MP3 et les Ipod.

Pour passer du vendeur au client, la musique ou la vidéo est transférée dans la carte mémoire du téléphone ou par bluetooth. Le transfert se fait également par câble vers les appareils MP3 ou Ipod ou directement dans une clé USB. Les personnes qui sollicitent les services des « téléchargeurs » savent qu’il s’agit d’un acte illégal mais évoquent des raisons diverses pour se justifier.

Clément dit : « on n’aime pas forcement toutes les chansons d’un artiste alors il ne sert à rien d’acheter tout un CD pour écouter juste une ou deux chansons. Je préfère sélectionner uniquement les chansons qui me plaisent ». Mireille ajoute, « le téléchargement me revient moins cher. Avec 1000fCFA, je peux avoir 10 chansons de 10 musiciens différents alors que s’il fallait les acheter, je dépenserais au moins 10.000 fCFA pour acquérir les 10 CDS ». Adrien lui affirme « je veux bien acheter les CDS originaux mais je ne sais où les avoir alors je me contente de ce que je trouve sur le marché ».

Du coté du ministère de la culture, les agents rencontrés préfèrent ne pas s’exprimer sur la question du téléchargement illégal. Quant aux artistes dont les œuvres sont ainsi piratées, ils crient au scandale et souhaitent que des mesures soient rapidement prises pour remédier à la situation.
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:34
Mobile_BankingGrâce au téléphone portable, des Africains qui n'avaient jusque-là pas accès aux services des banques traditionnelles, sont désormais de plus en plus nombreux a en bénéficier. Le concept de la banque mobile qui permet, entre autres, d'envoyer et de recevoir de l'argent à l'aide d'un simple sms est en plein essor sur le continent. Il surfe sur la forte croissance de l'usage du mobile en Afrique et sur le faible taux de bancarisation du continent

Février 2009, Netexplorateur, un forum qui récompense chaque année les dix pionniers « des innovations mondiales les plus prometteuses en matière d'usages numériques », décerne son grand prix à Wizzit, une banque mobile sud-africaine. Le trophée est remis à Brian Richardson, le fondateur de cette entreprise. Son mérite ? Avoir créé un concept de banque à moindre coût uniquement accessible depuis les téléphones mobiles. Concrètement, Wizzit propose, via les téléphones cellulaires, une série de services bancaires : transferts, retraits, paiements de factures, communications prépayées... aux Sud-africains qui n'y ont pas accès.

A l'origine de l'entreprise de M. Richardson, une observation : « dans certaines zones rurales [en Afrique du Sud], les mobiles sont plus nombreux que les prises électriques », raconte-t-il. Au même moment, les personnes ayant accès à un service bancaire, dans ces zones, est infime. Cette situation, loin d'être une particularité sud-africaine, est générale dans toute l'Afrique, notamment dans sa partie subsaharienne. Selon certaines statistiques, fin 2008, 270 millions d'Africains sur près d'un milliard possédaient un téléphone portable et cette proportion devrait presque doubler à l'horizon 2013. En Afrique subsaharienne, moins de 10% de la population a un téléphone portable et cette proportion connaît d'année en année une progression galopante. Le nombre d'abonnements mobiles chez l'opérateur Orange, par exemple, a progressé de plus de 40 % en 2007 en Afrique contre une hausse de de 28 % au niveau mondial.

Pénétration fulgurante de la téléphonie mobile et faible taux de bancarisation

Parallèlement, le nombre de personnes possédant un compte bancaire sur le continent reste le plus faible au monde. Les chiffres de la Banque mondiale indiquent que moins de 20 % des ménages ont accès aux services bancaires. Ce taux descend jusqu'en dessous de 5% dans certains pays. Entre la pénétration fulgurante du téléphone portable et le très faible taux de bancarisation en Afrique, les opérateurs télécom, comme Wizzit, ont découvert un créneau à fort potentiel et s'y sont engouffrés : les services bancaires et de microcrédit. Il prend le nom de Banque Mobile, Mobile Banking, Mbanking, M-payement, SMS Banking... Son principe est assez simple : via un SMS, le détenteur d'une carte SIM d'un opérateur peut envoyer et recevoir de l'argent, payer une facture, détenir un compte, obtenir un microcrédit...

Aucun opérateur ne veut rester en marge de ce marché porteur. Les annonces d'offres nouvelles en direction des clients africains deviennent légion. Né en Afrique australe dans les années 2000, le Mobile Banking atteind aujourd'hui les autres régions du continent. En mars, MTN, une autre compagnie sud-africaine et un des leaders de la téléphonie mobile, a annoncé le lancement en Côte d'Ivoire d'un service bancaire dénommé « MTN MobileMoney ». Celui-ci permet aux clients de régler des achats ou de vérifier le solde de leurs comptes par SMS. L'opérateur a indiqué que cette offre devrait s'étendre très prochainement à vingt autres pays d'Afrique de l'ouest et centrale. Tous les ténors du secteur proposent des services similaires. Parmi eux le français Orange, avec Orange Money, et le koweitien Zain. Ce dernier, alors qu'il s'appelait Celtel, a d'ailleurs été à l'origine de cette innovation, en 2002, avec le système Celpay, qu'il a lancé, en Zambie, avec le groupe financier sud-africain FirstRand International Limited. Celpay permettait alors au client de régler ses factures et aussi de transférer des fonds grâce à son téléphone cellulaire. Le succès a été immédiat. 2 % du PIB de la Zambie auraient même transité par ce mode de paiement en 2006.

Mise en place d'une plate-forme pour les pays de l'Uemoa

Au Kenya, Vodafone et Safaricom, deux autres pionniers en la matière, ont mis en place, avec la collaboration d'institutions financières, une plate-forme de m-payment qu'ils ont baptisée M-pesa. Celle-ci permet, en plus des services de transfert d'argent et de paiements classiques, d'assurer la distribution et le remboursement de prêts accordés par une institution de micro finance.

Cette forte expansion de la banque mobile en Afrique obligeant, le Groupement interbancaire monétique de l'Uemoa, GIM-Uemoa a décidé de mettre en place une plate-forme regroupant plusieurs opérateurs de la sous-région ouest-africaine et quelque 80 banques pour améliorer les services proposés aux clients et surtout pour mieux organiser et sécuriser le secteur. Ce projet, qui devrait se mettre en place courant 2009, se concrétisera par l'installation de bornes faisant office de distributeurs automatiques, a indiqué à Afrik.com Souley Maikarfi, le responsable informatique et monétique de Gim-Uemoa. Grâce à la technologie NFC, a expliqué M. Maikarfi, le client muni de son téléphone cellulaire pourra retirer de l'argent en espèce et en envoyer à l'aide d'un simple SMS.

Des innovations africaines qui gagnent l'Occident

« L'Afrique est le berceau [en matière de télécommunication] de services innovants qui pourraient être lancés demain en Europe. L'exemple le plus évocateur est celui du micro-paiement, un domaine dans lequel l'Afrique est à la pointe des nouveautés », écrivait, en 2008, des journalistes du quotidien économique français, Les Echos. Une étude réalisée, début 2009, par l'Association européenne de management et marketing financiers (Efma), auprès de clients et de dirigeants de banques en Europe, leur donne raison. Selon cette enquête, pour 88% des banquiers interrogés et 66% des clients, la gestion de compte se fera via le « mobile banking ». 80% des banquiers et 70% des clients affirment qu'ils effectueront leur paiement par le biais de leurs téléphones portables. Une autre preuve du succès de cette innovation venue d'Afrique est l'organisation depuis 2008 d'une rencontre mondiale consacrée la banque mobile. Dénommée Mobile Money Summit, sa deuxième édition se tiendra en Espagne, en juin de cette année.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:33
orange_webtvOrange va lancer un site de diffusion vidéo qui devrait référencer plus de 500.000 contenus professionnels. Nom de code : Welles. Basé sur le modèle du site américain Hulu, ce projet veut offrir une alternative 100 % légale à YouTube.

Orange se rêve en Citizen Kane de la télévision sur Internet. L'opérateur télécoms prépare en effet le lancement d'un site de diffusion vidéo à la demande avant la fin de l'année. Nom de code : projet Welles. Un clin d'oeil au célèbre réalisateur américain dont la filmographie est incontournable pour les cinéphiles. « Ce site sera ouvert à tout le monde et financé par la publicité », explique aux « Echos » Jean-Louis Constanza, PDG d'Orange Vallée, entité dont le but est de développer des projets liés à Internet.

Welles sera un mélange de YouTube, de Dailymotion et de Hulu, le site de diffusion de séries télévisées créé par les majors News Corp. et NBC Universal. Il proposera non seulement des vidéos envoyées par les internautes (après avoir été filtrées par l'opérateur), mais surtout des émissions, des séries TV et des films diffusés légalement. « Nous voulons avoir plus de 500.000 contenus disponibles à l'ouverture du service, c'est bien plus que Hulu aujourd'hui », souligne Jean Donadieu de Lavit, directeur marketing d'Orange Vallée en charge du projet Welles.

La filiale de France Télécom a commencé à négocier l'achat des droits pour constituer son catalogue d'oeuvres diffusées sur le Web. Mais elle reste discrète sur le sujet. Elle a déjà acquis près de 1.000 films et séries (auprès de Warner et HBO notamment) pour ses chaînes de télévision Orange Cinéma Séries moyennant un chèque de 337 millions d'euros. Mais l'opérateur doit maintenant acheter les droits de diffusion Internet et mène apparemment des discussions avec tous les studios.

Fort engouement

Orange lorgne ce marché car la vidéo sur Internet connaît un fort engouement aux Etats-Unis comme en Europe malgré un modèle économique publicitaire encore incertain.

Outre-Atlantique, Hulu a enregistré 396,9 millions de vidéos visionnées au mois d'avril contre 512,8 millions de vidéos pour Fox Interactive Media (MySpace) et 6,8 milliards pour YouTube selon l'institut comScore. Et la société américaine ne veut pas se contenter des Etats-Unis. Elle tente de débarquer sur le Vieux Continent en créant des sociétés communes avec des acteurs locaux. Hulu pourrait même faire ses premiers pas en Angleterre au mois de septembre selon le « Daily Telegraph » en proposant des contenus des chaînes BBC, ITV et Channel 4. De son côté, YouTube propose depuis le mois d'avril aux Etats-Unis des contenus de Sony Pictures avec une offre tournante de 15 films, ceux de MGM, Lionsgate et douze autres studios de cinéma, ainsi que trente-quatre réseaux de télévisions, dont BBC Worlwide, Discovery Channel, National Geographic, PBS et Showtime.

Se différencier des autres sites

« Contrairement à Hulu, qui produit et diffuse les contenus des grands studios, nous, nous ne sommes que des distributeurs de contenus, explique Jean Donadieu de Lavit. Nous voulons aller plus loin en proposant aux internautes de créer leur propre programmation. »

L'opérateur français souhaite se différencier des autres sites de vidéo en offrant aux internautes de programmer à certaines heures de la journée la diffusion de séries et en proposant à d'autres de les rejoindre pour discuter et échanger en ligne. Ce nouveau projet est donc bien plus ambitieux que la première plate-forme de diffusion de vidéo lancée par Orange en 2007, Mazonevidéo. Ce site permet aux internautes de diffuser des contenus depuis leur PC ou leur mobile sur le site de l'opérateur. Mais son audience est restée confidentielle face au succès de Dailymotion et YouTube.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:30

giswatch_2008L’accès garanti à l’internet est-il un droit humain dont nous bénéficions tous?

C’est une des grandes questions posées par une publication annuelle qui souligne l’importance de l’accès aux infrastructures des technologies de l’information et de la communication (TIC) – et étudie les pays qui trouvent ou ne trouvent pas de solutions et comment ils s’y prennent, ainsi que les mesures à prendre pour les aider.

Global Information Society Watch 2008 (ou GISWatch), maintenant disponible en français sur le site www.giswatch.org est publié par l’Association pour le progrès des communications (APC), le Third World Institute (ITeM) et l’organisation de développement néerlandaise Hivos, et regroupe dans plus de 50 rapports les perspectives des experts, des analystes et des activistes travaillant dans le domaine des TIC ainsi que des organisations de la société civile dans le monde entier.

« Certains bailleurs de fonds et praticiens du développement, dont la société civile et des activistes de la communication et de l’information commencent à penser que l’accès aux infrastructures n’est pas aussi important qu’on le croyait », affirment les éditeurs dans la préface.

« Le résultat c’est l’idée que le domaine du développement des infrastructures doit être laissé au secteur privé, opérateurs et investisseurs qui ne voient pas toujours la valeur sociale des communications dans la société, aux gouvernements qui n’ont pas les moyens ni souvent une stratégie claire et aux institutions internationales qui tendent à aborder cette question dans une optique limitée et technocratique ».

Internet – le pétrole de la nouvelle économie mondiale

Plusieurs rapports thématiques de GISWatch 2008 s’attaquent à des sujets brûlants en rapport avec l’accès aux infrastructures et autres questions connexes. Par exemple, l’analyste Peter Lange présente les avantages et les inconvénients dans une analyse sur la neutralité de l’internet intitulé « The end of the internet as we know it? » (La fin de l’internet tel que nous le connaissons) alors que Sunil Abraham, du Centre for Internet and Society à Bangalore, fait l’observation hardie que la plupart des utilisateurs d’ordinateurs aujourd’hui sont encore « numériquement colonisés » en raison de leur utilisation inconditionnelle des logiciels commerciaux – généralement Microsoft. Dans son analyse de l’accès au contenu, Russell Southwood affirme que la bande passante, tout comme le pétrole, est une ressource essentielle du XXIe siècle. Quant à Daniel Pimienta, de Networks and Development Foundation (FUNREDES), il fait observer que le World Wide Web s’étend de façon exponentielle et que les moteurs de recherche perdent leur capacité à l’indexer.

Ben Akoh, de la Open Society Initiative of Western Africa (OSIWA), simplifie la question parfois touffue qui sous-tend la gestion équitable du spectre et fait observer que :

« Dans le contexte africain, le téléphone mobile tire profit de l’oralité de la culture et de la société africaines, ce qui explique peut-être son adoption rapide. Mais dans un contexte moderne, c’est une oralité qui se retourne contre elle-même dans la mesure où le coût de la communication peut avoir avalé le revenu disponible de la personne. »

La façon dont les institutions internationales comme les Nations Unies et l’Union internationale des télécommunications traitent les questions d’accès est abordée par l’analyste du développement des TIC, David Souter. On trouve également dans la publication un autre point de vue sur les indicateurs. Les auteurs Mike Jensen et Amy Mahan font remarquer qu’il n’existe pas de consensus mondial sur une façon de mesurer la société de l’information qui permettrait des comparaisons raisonnables entre pays.

Des rapports sur presque quarante pays

Des rapports sur trente-huit pays ont été rédigés par des auteurs de pays aussi différents que la République démocratique du Congo, le Mexique, la Suisse et le Kazakhstan. Parallèlement, six aperçus régionaux placent en contexte les rapports sur chaque pays. Ils portent sur l’Amérique du Nord, l’Amérique latine et les Caraïbes, l’Afrique, les pays de l’ancienne Union soviétique, l’Asie du Sud-est et le Pacifique.

Selon APC, Hivos et ITeM, GISWatch est à la fois une publication et un processus : il s’agit d’établir une capacité de réseautage et de plaidoyer entre les organisations de la société civile qui oeuvrent pour une société de l’information juste et inclusive. Le nombre croissant d’organisations qui présentent des rapports sur des pays – seize de plus que l’an dernier, première année de parution de GISWatch, témoigne de cette orientation. Ce faisant, ces organisations espèrent que GISWatch aura une influence sur les processus de formulation des politiques dans les différents pays et régions et au niveau international.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:28
Guimba_Konate_Conseiller_Min_TelecomL'Etat du Sénégal a entrepris un programme intitulé ‘'Protection des enfants et mineurs sur Internet'', étalé sur trois ans (2010-2013) d'un coût de 198 millions de francs CFA afin de ‘'limiter les dégâts causés par Internet sur les enfants'', a annoncé, mercredi à Dakar, un conseiller technique du ministre des Télécommunications des Tic, des Transports terrestres et ferroviaires.

Guimba Konaté représentait le ministre à la journée mondiale des télécommunications célébrée, avec retard, à l'Ecole supérieure multinationale des télécommunications à Dakar.

La Journée mondiale des télécommunications célébrée le 17 mai, est consacrée cette année à la protection des enfants dans le cyber-espace.

M. Konaté a expliqué à la presse qu'il s'agit dans un premier temps de faire une enquête pour savoir exactement quelle est l'utilisation que les enfants font d'Internet et les sites les plus fréquentés, pour ensuite avec les données obtenues, mettre des sortes de paravent.

‘'Une politique d'information en direction des parents, des éducateurs et de tous ceux qui ont un rapport avec les enfants, va être déroulée pour les informer des dangers qu'il y a sur Internet'', a souligné l'ingénieur en télécommunications.

Ainsi, des applications seront développées suite à cette première phase avec la mise à disposition de CD, de sites web dans lesquelles ces informations vont circuler en plus des innovations technologiques comme le contrôle parental pour empêcher aux enfants d'accéder à certains sites, a-t-il poursuivi.

Les forces de l'ordre seront aussi mises à contribution dans le processus, par la mise à disposition d'informations, a ajouté M. Konaté.

En effet, à propos des dispositions de la loi en matière de cyber-espace, le conseiller technique du ministre a souligné qu'au Sénégal, il n'y a plus de vide juridique en raison du ‘'parachèvement de l'arsenal juridique avec des lois adoptées relatives à la société de l'information''.

Une loi générale remet en place véritablement tous les problèmes causés par les technologies de l'information et de la communication avec de nouvelles peines, de nouveaux délits liés à l'utilisation d'Internet, a relevé M. Konaté, ajoutant que du ‘'côté juridique, le Sénégal est vraiment à l'aise dans ce domaine''.

Toutefois, il reste la formation des juristes qui se fait progressivement à travers l'Agence de l'Informatique de l'Etat (ADIE) avec des séminaires d'information faits en direction des membres de la famille judiciaire.

Il y aussi d'autres formations menées à l'intention des hommes de loi, des élus et du grand public pour que tout le monde soit au diapason des nouvelles dispositions législatives, a assuré le représentant du ministre de tutelle.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:26
mtn_mobile_tvPour construire la notoriété de l'offre, l'opérateur s'est mis en co-branding avec Microsoft et des banques. D'après les chiffres officiels, le taux de pénétration de l'Internet au Cameroun est encore très faible. Il est d'environ 1% alors qu'au Sénégal il est de 5%. Ce retard est le fait du concert de plusieurs facteurs comme le manque d'infrastructures pour transporter la fibre optique, son prix exorbitant, mais aussi et surtout le manque de supports de cette technologie qu'est l'ordinateur.

Mtn Cameroon à travers sa filiale Mtn Solutions network "a travaillé avec Microsoft pendant 1 an pour essayer de trouver une solution qui serait techniquement et économiquement au point et appropriée au contexte Camerounais.

Nous voulions une offre accessible qui permettent aux particuliers de franchir la barrière des coûts, c'est pour cela que nous avons impliqué les banques", explique Joël Awono Ndjodo, Business segment manager à Mtn Cameroon. La nouvelle offre baptisée "My Pcnet" est en fait un dual pack "qui est composé d'un ordinateur de marque Hp, Packard Bell, Acer (portable ou de bureau) plus une connexion Internet haut débit illimité pendant 1 an", précise Serge Mbarga, Marketing Produit à Mtn.

Pour construire la notoriété de l'offre qui a pour cible les particuliers et détenteurs de comptes courants dans une banque, la campagne de communication s'est appuyée sur deux éléments le cobranding et le mix marketing. Le lancement de cette offre depuis juin 2009 s'est appuyé d'abord sur un cobranding en incluant plusieurs marques fortes comme Microsoft, Acer, Packard bell, Hp, mais aussi des partenaires financiers solides que sont la Sgbc, Bicec et Uba.

Pour être éligible à l'offre Mypcnet, il faut avoir un compte courant dans l'une de ces banques et de souscrire à un crédit entre 3 et 24 mois pour payer en traites le pack Mypcnet qui comprend un ordinateur portable ou de bureau plus la connexion Internet illimitée pendant 1 an. Le pack vous est livré 72heures après l'accord du crédit. Avec des partenaires à la réputation de sérieux et de solidité établie, Mypcnet bénéficie ainsi de la notoriété de ces marques internationales fortes.

La strégie Push et Pull ont été mis en branle par Mtn Cameroon. Sur le plan du Pull, Michelle Bahiyé, segment coordinator à Mtn explique que "les supports de médias sollicités sont les panneaux d'affichage, les spots télés et radios et insertions presse".

Sur les visuels de la campagne l'accroche "Un ordi +le Net, c'est plus clair !" pour éviter toute ambiguïté, est visible au dessus d'une pastille rouge qui indique le bénéfices financiers de l'opérations (1F/mn). Plusieurs Sms et mailings ont été envoyés à la base des données des trois banques et celle de Mtn avec.

Pour le Push, Mtn a placé une quarantaine de business représentative dans les banques partenaires. Ces jeunes formés à la vente de cette nouvelle offre ont installé des coins de démo avec ordinateurs dans les banques et donnent toutes les informations en français et en anglais relatives à Mypcnet. La campagne de communication de Mypcnet va durer 3 mois

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