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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:41

Le Messager (Douala)

Le portefeuille actif du Cameroun approuvé par la Bad compte 14 projets. L'enveloppe globale s'élève à 276 milliards Fcfa. Cette somme est répartie ainsi qu'il suit : 22,49 milliards Fcfa en ressources sous forme de la Bad ; 230,4 milliards Fcfa en ressources du Fonds africain de développement (Fad) sous forme de prêts, et 23,2 milliards Fcfa en ressources Fad sous forme de dons.

Parlant de la situation du portefeuille du Cameroun, la Bad mentionne que le pourcentage des décaissements au Cameroun est en hausse. Il est passé de 12% en mai 2008 à 40% en avril 2009. Selon ses projections, le taux de décaissement pourrait atteindre les 60% en fin 2009. Ceci du fait du démarrage de certains travaux. Mais, le niveau d'exécution de certains projets est toujours faible.

La revue du portefeuille du Cameroun a pour principale cible la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Cela passe par la promotion de la bonne gouvernance en vue d'une gestion transparente des ressources publiques, et l'amélioration des infrastructures.

Le ministre délégué au Minepat, Yaouba Abdoulaye, a précisé à l'ouverture de la revue du portefeuille que le Cameroun " devra poursuivre des efforts pour réduire les délais de satisfaction des conditions de mise en vigueur et du premier décaissement, de passation des marchés et de la mise en oeuvre des opérations ".

Depuis le début de ses opérations en 1972 au Cameroun, la Bad a approuvé 70 opérations pour un montant de 712 milliards Fcfa. La revue du portefeuille se tient tous les deux ans. La Bad et la Banque mondiale projettent une nouvelle stratégie d'intervention au Cameroun pour la période 2010-2014 fondée sur la vision de développement à long terme du Cameroun.

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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:37

Cameroon Tribune (Yaoundé)

C'est ce qu'on retient de la cérémonie de lancement du rapport 2008/2009 sur la santé économique de l'Afrique par le groupe de la Banque mondiale.

Néanmoins, on annonce une "timide reprise en 2010" grâce aux retombées des plans de la relance agricole. Les indicateurs prévoient qu'il y aura en 2010, une augmentation de la production vivrière et des cultures de rente comme le cacao grâce à la production des nouvelles exploitations.

S'agissant de la politique budgétaire sur la période 2008-2010, on observe qu'elle est orientée sur la mobilisation des recettes non pétrolières. En 2008, les recettes budgétaires représentaient 19,4% du PIB. Un ratio qui pourrait décliner e 2009 et 2010 pour se situer à environ 15% à cause de la chute des cours du pétrole, premier produit d'exportation du Cameroun.

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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:34

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Selon le représentant de Canal Sat, l'entrée d'Equinoxe télévision dans le bouquet principal n'est pas un fait du hasard. «Nous nous sommes tout simplement rendu compte que cette chaîne avait beaucoup de potentiel. Et encore plus, un large auditoire», explique Jean-Christophe Ramos.

Les journalistes de la chaîne basée dans la capitale économique devront retrousser les manches pour faire face à la concurrence qui s'annonce rude. Le seul maître mot à retenir, comme l'a dit un responsable d'Equinoxe TV, est le professionnalisme. Pour regarder les premières images, les téléspectateurs vivant à l'étranger devront faire preuve de patience. La chaîne privée commencera à diffuser hors de nos frontières d'ici la fin du mois de juin.

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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:29

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Le document a été remis hier au gouvernement en marge des travaux du Cameroon Investment Forum 2009 qui se tient à Yaoundé.

Pour Orange-Cameroon qui a financé son élaboration, c'est une contribution pour le développement économique du Cameroun. Il est question de mettre le document sur la toile, de manière à montrer le potentiel du Cameroun à tout investisseur, où qu'il se trouve et dans tous les secteurs. La création du site Web, a annoncé le ministre du Commerce, est imminente. Le déclenchement vient d'être fait par la mise à disposition de la plaquette

A travers les projets présentés, les investisseurs comprendront que les opportunités ne manquent pas dans le pays dans les secteurs de l'agriculture, des mines, de la téléphonie, de la médecine, de l'agro-industrie, etc. Le site, selon les déclarations du ministre du Commerce, aurait pu être construit avant la tenue de la troisième édition du Cameroon Investment Forum. Sa disponibilité ne serait plus qu'une affaire de jours.

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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:16
La convention signée hier permettra d’approvisionner six écoles en eau potable.

Je connais mes droits», dit l’affiche. Elle est brandie par des enfants qui assistent, avec une joie visible, à la cérémonie de renouvellement de signature de la convention entre la fondation Mtn et le fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef). 

Dans cette salle de l’hôtel Hilton de Yaoundé, à la veille de la célébration de la journée de l’enfant africain, le groupe de joyeux enfants a effectivement fait étalage de sa bonne connaissance des droits des enfants. Droits à l’éducation, à l’alimentation, aux loisirs, etc. Ils ont récité ces droits sous les acclamations d’unpublic d’adultes conquis.
«Comme tous les enfants d’Afrique, ceux du Cameroun n’ont pas demandé à naître. Nous avons donc tous l’obligation de les aider à survivre dans un monde de plus en plus marqué par les égoïsme», a déclaré Jean Claude Ottou, le directeur général de la Fondation Mtn. Un propos qui visait à justifier l’engagement de la Fondation Mtn auprès des enfants et, partant, la convention avec l’Unicef.
Celle-ci, signée pour la première fois en décembre 2005, a conduit à la réhabilitation de l’école publique de Mbalé et à l’approvisionnement en eau potable de six «écoles amies des enfants» dans la région de l’Adamaoua : Mbalé, Meidougou, Mbang Mboum, Sabongari-Ngangassaou, Nyambaka et Burkina.
La convention signée hier par M. Jean Claude Ottou et la représentante résidente de l’Unicef au Cameroun, permettra, grâce à un financement de 71 925 000 Fcfa, de prendre en charge six nouveaux forages et la réfection de l’école de Sabongari-Ngangassaou. Pour le ministre de l’Education de base, Haman Adama, présente à la cérémonie d’hier, ce partenariat qui profite à son département ministériel mérite d’être salué à sa juste valeur.
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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 13:04
L'échéance de 2009, prévue pour la première phase ne sera pas respectée!

 

Les différents acteurs ont dévoilé leurs stratégies, ce qui permet d’avoir plus de clarté sur les phases d’évolution du déploiement de la fibre optique. 5 600 Km. C’est la longueur nécessaire pour le déploiement de la fibre optique à travers le Cameroun. La fibre ainsi déployée devrait permettre la réalisation d’une dorsale nationale de transmission appelée Backbone en français, colonne vertébrale matérialisant l’axe central. L’entreprise Cameroon telecommunications (Camtel) est chargée de réaliser que cet axe central puisse être utilisé par tous les opérateurs des télécommunications, comme l’indique le coordinateur du Groupe de travail Camtel (Gtc), Ebongo Aboutou Albert. La première phase de ce projet prévoit le raccordement des dix capitales régionales du Cameroun. Mais pour l’instant, seules les dorsales D1 (Douala-Edéa-Nkondjock-Matomb-Mbankomo-Yaoundé) et D2 (Douala-Mbanga-Nkongsamba-Bafang-Baham-Bafoussam-Bandjoun-Bangangté-Bafia-Obala-Yaoundé), sont interconnectées. Aucune politique de préférence, c’est juste que ces localités sont reliées par des voies de communication stable.

 

Pourtant l’échéance de 2009 prévue pour la première phase du projet ne sera pas respectée, de l’avis de l’ingénieur des télécommunications, Ebongo Aboutou Albert qui s’exprimait dans les colonnes du quotidien le Messager. Diverses raisons y concourent. D’abord la nécessité de revoir le projet élaboré quelques années plus tôt avec le ministère des Postes et télécommunications (Minpostel). Le coût de construction de l’axe central y était estimé à environ 76 milliards Fcfa. Un budget qui ne peut plus suffire parce que certaines liaisons, prévues par voie hertziennes, ont été annulées au profit de la fibre optique. C’est le cas entre Buea et Bamenda, ou encore Bafoussam et Ngaoundéré. La faible capacité du faisceau hertzien ne peut pas nous aider en cas de rupture d’un câble, justifie Ebongo Aboutou A. Il y a ensuite la disponibilité des financements qui constitue un autre blocage. Ce qui retarde le lancement du tronçon Bafoussam-Mbouda-Bamenda avec une extension vers Dschang. Mais en réalité, la plus grosse inquiétude est liée au réseau routier national. Il est prioritaire selon Camtel, de poser la fibre optique le long des routes, pour aider à réduire les coûts et ainsi faciliter les interventions d’entretien. La ville de Ngaoundéré dans l’Adamaoua devrait donc attendre qu’une route la relie à Meiganga où passe la fibre optique installée le long du pipeline Tchad-Cameroun. Ou alors qu’un axe bitumé parte de Ngaoundéré pour Bafoussam via Foumban et, Banyo et Pang. Et pire encore, le câble connectant Garoua et Maroua partira de la capitale de l’Adamaoua. De l’avis des observateurs demain n’est pas la veille. Il y a trop de complexité dans le retard qu’a pris les projets de bitumage des routes reliant le grand sud au grand nord

Pour ce qui est de la région du Sud, les travaux sont déjà dans la zone de Mbalmayo et les ingénieurs prévoient déjà de traverser le Nyong. Les travaux devraient se prolonger vers Sangmelima d’une part et vers Ebolowa d’autre part. L’objectif étant de rallier les frontières du Gabon, du Congo et de la Guinée équatoriale. Cette phase des travaux est appuyée par l’assistance de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement. Car le Cameroun de part sa position stratégique va servir de point d’accès à la fibre optique pour les trois pays suscités, mais aussi le Tchad, la Centrafrique et la République démocratique du Congo. Les ingénieurs envisagent selon l’évolution des travaux, une réalisation complète de la phase I de l’axe central national en 2012, soit environ 3 000 Km de câble. Les entreprises Sagem et Alcatel effectuent ces travaux, en plus de Camtel.




 

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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 07:17

Le Cameroun doit se dépêcher d’accueillir son troisième opérateur mobile. A croire le rapport de Pyramid Research, celui-ci devrait entrainer la baisse des tarifs et le doublement du taux de pénétration.

Par Hance Guèye, Dakar

« Le Cameroun se caractérise par des prix à la minute élevés et un faible taux de pénétration par rapport au PIB par habitant, avec seulement 30% fin 2008 », indique le rapport Communications Markets in Cameroon (les marchés de la communication au Cameroun) publié le mois dernier par Pyramid Research, la filiale de recherches en télécommunication de Light Reading Communications Network.

Cette situation, estime le rapport de 23 pages réalisé par Mme Yejide Onabule, analyste chez Pyramid Research, est appelée à se modifier rapidement. L’arrivée d’un troisième opérateur de téléphonie mobile et l’augmentation de l’utilisation des services mobiles devraient entraîner la baisse des prix, grâce à la pression réglementaire. Le rapport prévoit plus que le doublement du taux de pénétration du mobile au cours des cinq prochaines années, en passant de 36%, estimation pour 2009, à 80% en 2014.

« Il existe actuellement trois grands acteurs sur le marché des télécoms au Cameroun : l’inamovible CAMTEL, qui domine le marché du fixe, et MTN et Orange qui se partagent celui du mobile », peut-on lire dans le rapport.

L’arrivée annoncée de CAMTEL sur le marché de la téléphonie mobile, estime l’auteur du rapport, « affectera notamment la part de marché de MTN, tandis qu’Orange conservera une position plus stable ».

 

Fausse alerte !

CAMTEL, en effet, va bénéficier de sa qualité d’unique opérateur sur le réseau filaire fixe qui va lui conférer un avantage en tant que fournisseur de services combinés. Toutefois, il lui faut d’abord réussir son processus de privatisation.

Son arrivée comme troisième opérateur est annoncée depuis longtemps. En mai 2006 déjà, la mise en service de Cameroon Mobile Telecommunications, sa filiale mobile, avait été annoncée avec un capital social de 600 millions de FCFA, 900 000 euros. Depuis, rien de concret malgré plusieurs déclarations jusqu’en décembre 2008. Le ministre d’Etat des Postes et Télécommunications, Bello Bouba Maigar, informe alors les parlementaires de son entrée en service. Fausse alerte, une nouvelle fois, puisque l’appel d’offres pour sa privatisation était déclaré infructueux par le ministre des Finances dans un communiqué en date du 15 janvier dernier. « Au terme du processus d’évaluation des deux propositions techniques et financières reçues par rapport à la stratégie et aux objectifs fixés par les autorités en matière de développement du secteur des télécommunications, le gouvernement a décidé de déclarer infructueux ledit appel d’offres ! Une nouvelle stratégie de réforme sera définie dans la perspective d’un partenariat public-privé permettant d’accompagner financièrement et techniquement le développement de Camtel. »

L’évolution du marché, ainsi liée à la réussite de la privatisation de CAMTEL, suppose aussi que par la suite les trois opérateurs investissent dans la modernisation et l’amélioration de leurs réseaux et services pour que des vitesses de connexion supérieures et de nouvelles applications puissent entraîner une augmentation de l’utilisation du haut débit mobile et d’autres services d’accès aux données.

 
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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 07:11

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Ce séminaire qui s'achève, ce jour a pour objectif de promouvoir les nouveaux atouts d'une politique de recherche pour un développement durable. Davantage, le double objectif de ce colloque est de faire acquérir aux participants, une expertise pour la mise en place d'une politique nationale en matière de déontologie et d'éthique de la recherche, mettre en évidence la nécessité d'identifier et de prendre en compte les questions d'éthique dans toutes les disciplines de la recherche scientifique.


Concrètement, il est question de créer au Cameroun, un environnement moral qui cadre avec les objectifs de l'agenda 21. Et pour ce faire quatre domaines prioritaires sont visés : le social, l'économie, l'environnement et la gouvernance. A terme, le but est d'arriver à des changements dans les modes de pensée, de gestion, de production et de consommation, de l'intégration à long terme et du global, de processus de décision.

Dans le cadre du colloque de Yaoundé, plusieurs universitaires, chercheurs et personnalités de la société civile du Cameroun et d'ailleurs animent depuis hier des tables-rondes à l'Institut des Relations Internationales du Cameroun (Iric). Et ces échanges vont se poursuivre ce, vendredi.

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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 07:09

Trouver une réponse dénuée de tout jugement moral à cette question paraît difficile. Cela dépend en tout cas de la position de celui ou celle qui se connecte sur Internet. Alors que certains y viennent pour s’informer et communiquer, d’autres s’adonnent à des “ pratiques ” plus ou moins condamnables. Cette dernière catégorie de personnes est en effet loin des objectifs des savants de la Nasa (Etats-Unis), lorsqu’ils avaient créé pendant la deuxième Guerre mondiale un système de communication qui se révèle être aujourd’hui l’une des plus grandes révolutions de la communication.
De manière globale, les Camerounais ont découvert les Technologies de l’information et de la communication (Tic), notamment l’Internet, vers la fin des années 90. Passée l’euphorie de cette “ trouvaille ”, ils ont petit à petit pénétré dans les méandres de la gigantesque toile pour découvrir tout ce qu’elle offre de bon comme de mauvais. Dans les nombreux cybercafés qui pullulent dans nos métropoles, et même dans les différents bureaux qui sont connectés à Internet, l’on a fini par découvrir les rencontres virtuelles. Les femmes, surtout, s’y sont données à cœur joie, prioritairement pour chercher un “ mari blanc ”. Malgré le regard de reproches de certaines personnes dans leur entourage, beaucoup d’entres elles ont pu dégoter leurs coqs aux plumes d’or. Malheureusement, certaines y ont laissé des plumes en se retrouvant dans les pays occidentaux, plongées dans des réseaux de prostitution par des proxénètes qui leur avaient pourtant promis le paradis.
Aujourd’hui, il ne s’agit plus de s’expatrier. Ni d’être en contact avec un blanc pour courir certains risques. Le risque par exemple de se voir sur le “ Net ” dans des situations classées “ X ”. De nombreuses photos et vidéos de femmes camerounaises se retrouvent ainsi sur Internet, laissées à la merci des pervers, des voyeurs, etc. Ils ne sont plus obligés de se connecter à des sites pornographiques (qu’ils trouvent d’ailleurs de plus en plus stéréotypés) pour se “ rincer l’œil ”. Les Tic ne nécessitent pas nécessairement une formation soutenue. En tout cas, pas pour faire certains “ travaux et recherches ”. Un téléphone portable multimédia, ou un appareil photo avec option vidéo, le tout est joué. L’on n’a plus qu’à créer son blog et y poster tout ce qu’on peut filmer. Ou tout simplement, pourquoi ne pas faire circuler des photos entre “ amis et connaissances ”, sans se soucier de qui les verra. Tant pis pour ceux et celles qui se retrouvent ainsi à la merci de regards indiscrets, sans être informés au préalable.
C’est ce qui s’est passé avec la dizaine de jeunes élèves camerounaises qui ont suscité cette enquête que vous livre Le Messager. Même s’il est difficile de remonter jusqu’à elles pour savoir ce qu’elles en pensent, l’affaire a fait grand bruit dans certains milieux, notamment le milieu estudiantin. Occasion pour nous de revenir sur les dérives observées dans notre pays au sujet de l’Internet, et bien sûr de tirer encore une fois la sonnette d’alarme quant à ces pratiques qui prennent de l’ampleur sans que la société camerounaise ne songe à réagir. 

Par Alain Noah Awana /le messager

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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 07:06

 

L’affaire ne date pas de maintenant. Elle serait même vieille de plusieurs mois. Et encore, le fait n’est pas totalement nouveau au Cameroun : celui d’une vingtaine de photos qui circulent de mail en mail sur Internet. Elles sont parvenues au sein de notre rédaction à Douala le lundi 18 mai 2009. Nous nous passerons des détails, tellement elles sont scabreuses, scandaleuses. A cause de ce qu’on y voit et à cause des acteurs. La plupart de ces photos ont été prises dans une même chambre, avec le même homme mais à chaque fois avec des filles différentes consentantes.
Sur ces photos dont la faible netteté prouve qu’elle pourraient bien avoir été prises par un téléphone portable (technologie oblige !), l’on reconnaît facilement le même sol carrelé noir et blanc, le même poste de télévision, la même literie, etc. Mais, surtout des filles en train de poser des actes qui scandaliseraient même Larry Flint (roi de la pornographie aux Usa). Sur toutes ces photos, le même ventre bedonnant et poilu d’un homme manifestement beaucoup plus âgé que “ ses proies ”. Dernier détail, on ne voit jamais le visage de celui qui est avec ces filles…
L’on se sent alors étreint par le besoin d’en savoir un peu plus. Le mail a pour titre : “ La magie des élèves de Saker au pays ”. Il a traversé les méandres de la magie des télécommunications avant de nous parvenir grâce à la technique du “ forward ”, c’est-à-dire “ faire suivre ”. En regardant de plus près pour savoir qui a reçu ce mail avant nous, nous tombons sur des noms plus ou moins connus dans le monde du sport, des affaires, des études, etc. Ce sont des personnes qui vivent aussi bien au Cameroun (au pays) qu’à l’étranger. Quelques indices nous font penser en tout cas qu’il s’agit d’un e-mail destiné à la diaspora camerounaise : le titre précise.

Dans une clé Usb
Quoiqu’il en soit, Le Messager a décidé d’aller voir de plus près. Et la vérité est assez surprenante. D’abord, la mise en circulation de ces photos sur Internet n’est pas récente. Selon Francis, un habitant de la Cité Sic, un quartier proche de l’université de Douala, cela date de l’année dernière. L’affaire serait partie d’un cybercafé situé dans cette zone lorsqu’un homme, dont l’identité n’a pas été révélée, oublie sa clé Usb après y avoir travaillé. Celui qui la retrouve est assez curieux pour l’ouvrir et “ tombe ” sur les photos. La “ légende ” veut même qu’un jeune journaliste ait réussi à mettre la main sur ces photos et tenté de faire du chantage à son propriétaire. On ne va pas plus loin. Dans tous les cas, “ l’affaire a chauffé dans le coin, surtout quand ces photos se sont retrouvées sur le Net ”, affirme Jérôme, un gérant de cybercafé de la Cité Sic.
Tout le monde en parlait. Sauf au célèbre Collège Alfred Saker, sis à Deïdo, le quartier le plus chaud de la capitale économique camerounaise. Ici, toute tentative pour retrouver les filles s’est avérée vaine, malgré les photos que nous avons montrées à de nombreuses personnes. En cette fin d’année scolaire où la tradition veut que les salles de classe se vident, les quelques élèves rencontrés ne donnent pas d’indices suffisants pour retrouver les jeunes filles. Au sein de l’administration, difficile aussi d’en savoir plus. L’on a vaguement eu vent de cette affaire et tenté de découvrir ce qui se passait. Sans suite. Dans tous les cas, les élèves concernées, même si ces photos pourraient s’être retrouvées sur Internet sans leur accord préalable, auraient été punies ou exclues de l’établissement. Pour préserver l’image du collège. Quoiqu’il en soit, de nombreuses photos du même genre d’autres jeunes élèves camerounaises sont aussi en circulation. La perversion sexuelle des jeunes élèves du Cameroun sur le Net est véritablement en marche.  

Par A.N.A. /le messager

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