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Pour tous ceux et celles qui désirent soutenir nos actions , veuillez cliquer simplement   sur les publicités  affichées sur notre blog   Michel Fosso (Coordonnateur du RICPTID) mail:micfosso@yahoo.fr-  Tél:  +237 677 69 56 18   
                

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Dérniers Infos TIC & Developpement

Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 12:41

Cameroon Tribune (Yaoundé)

Avec l'apport des NTIC et ses multiples opportunités, des écoles de spécialisations aux filières diverses pullulent à travers le pays.

En réalité, pas besoin d'un background particulier pour s'initier aux nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). D'ailleurs, plusieurs écoles à Yaoundé font de l'outil informatique une spécialité. Selon une responsable d'un des instituts de la place, « l'avantage que les gens ont à suivre une formation en TIC, c'est qu'ils sont tout de suite aptes à l'emploi. Et beaucoup se mettent même à leur propre compte ». Mais la plupart de ces écoles font généralement dans la formation en secrétariat bureautique et en infographie, qui ouvre justement aux petits métiers. « C'est pourquoi la plupart de ces écoles sont agréées par le ministère de l'Emploi et de la formation professionnelle », selon un responsable du ministère de l'Enseignement supérieur. A côté de ces formations de proximité en informatique, il y a de grandes écoles dont la référence au Cameroun serait l'Institut africain d'informatique (IAI).

Mis en place en 1999, la représentation de l'IAI Cameroun forme des ingénieurs des travaux informatiques en maintenance microinformatique et réseaux ou en informatique de gestion. A côté de cela, l'institut offre également des formations à distance et en continu. « L'IAI reçoit très souvent des employés des services administratifs pour l'initiation à l'outil informatique, qui est de plus en plus indispensable », selon Augustin Nyemb Bayiha, chargé de la communication à l'IAI. D'autres institutions telles que les Instituts universitaires de technologie (IUT), et d'autres écoles privées offrent des Brevets de techniciens supérieurs (BTS) en informatique. Ici comme ailleurs, plus l'outil informatique et les logiciels se développement, plus de nouvelles filières naissent.
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 12:34
Comprendre l’univers des noms de domaines avec Nicolas Boutmy, expert chez Indom

Depuis le 15 juin 2009, le registre camerounais a lancé une nouvelle "sunrise period" pour les titulaires de marques souhaitant réserver leurs noms de domaine en .CM. Nicolas Boutmy, Responsable Support Produits & Méthodes chez Indom nous donne des informations pour bien comprendre l’environnement des noms de domaines

La période sunrise du .CM a débuté le 15 juin. Qu'est ce que cela signifie?
Une "sunrise period" (ou période d'enregistrement prioritaire) correspond à un laps de temps pendant lequel les demandes de réservation de noms de domaine sont réservées en priorité à un certain type de demandeurs (par exemple les propriétaires de marque), ceci afin d'éviter le cybersquatting et les risques de litiges qui l'accompagnent. Dans le cas du .CM et pendant une période de 1 mois (du 15 juin au 14 juillet), seuls les titulaires de marques enregistrés pourront demander l'enregistrement du nom de domaine équivalent (ex : nous détenons la marque INDOM, nous pouvons donc demander le nom indom.cm).

Qui détermine les noms de domaines pays et comment se passe l'attribution?
Les CCTLDs (Country Code Top Level Domain ou extension de pays) sont calqués sur les codes ISO propre à chaque pays. FR pour la France, CM pour le Cameroun, US pour les Etats-Unis et ainsi de suite... Vous pouvez consulter la liste complète à l'adresse suivante: http://www.iana.org/domains/root/. L'extension d'un pays est donc attribuée en fonction de son code ISO puis ensuite inscrite dans les serveurs racines de l'internet. Chaque registre détermine ensuite ses propres règles d'attribution et de gestion.

 

© www.pme-multimedia.com
Les autorités administratives ont-ils un droit de gérance sur les noms de domaines pays?
Un ccTLD est considéré comme une ressource propre au pays. Dans le cas du .CM, c'est l'Etat camerounais qui décide de son exploitation. Il peut décider de le gérer directement (via un ministère, une autorité administrative créée à cet effet, une association...) ou d'en déléguer la gestion à une société privée.

Le .CM ouvrira définitivement en quelle année?
Sauf erreur de ma part, c'est à partir du 1 août 2009 que le .CM ouvrira définitivement. A partir de cette date, le .CM sera ouvert à tous sans condition.

Un site peut-il avoir plusieurs noms de domaines?
Oui. Il est tout à fait possible de lier un site à plusieurs noms de domaine. C'est notamment le cas des grandes sociétés disposant d'un nombre conséquent de noms de domaine. Par exemple, le nom indom.com et le nom indomco.com renvoient au même site. On parle de redirection dans ce cas de figure.

Est-il possible de retirer un nom de domaine à un site?
De la même manière que vous pouvez rediriger un nom de domaine vers un autre nom de domaine, vous pouvez également supprimer cette redirection.

L'état peut-il décider de la fermeture d'un site]
En règle générale, L'état peut envoyer un mail à l'hébergeur ou au registrat du nom de domaine ou enfin porter plainte en assignant en référé pour demander la liquidation du site
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 11:58

Les Technologies de l’information et de la communication (TIC) sont aujourd’hui un instrument incontournable dans la perspective du développement des populations à la base. Plus qu’un phénomène de mode quasi planétaire, il est difficile d’y échapper. Et arrimer le Cameroun à la société mondiale de l’information et des savoirs en émergence est devenu, une priorité nationale et un enjeu majeur aussi pour le développement économique que pour l’émancipation intellectuelle des populations. En tout cas, les pouvoirs publics camerounais en ont pris conscience et entendent bien utiliser les Technologies de l’information et de la communication, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et de la promotion du développement. Il est question de faire entrer le pays dans l’ère du savoir, du savoir-faire et du savoir-être. Il est impensable d’assurer l’ouverture, la compétitivité et l’attractivité du Cameroun dans le monde sans une réelle appropriation d’internet et des autres TIC. Il en va de même pour les télécommunications qui connaissent un grand boom un peu partout dans le monde avec l’expansion de la téléphonie mobile principalement et des évolutions technologiques.

De façon visible, le Cameroun semble avoir pris le train de l’évolution technologique et essaie tant bien que mal de suivre la cadence. Internet est une réalité au Cameroun. Les autres TIC aussi. Par ailleurs, dans le secteur des télécommunications, il y a également des acquis. Aujourd’hui, la fibre optique est une réalité au Cameroun. Et son émergence est d’un apport incommensurable dans l’évolution des TIC. Dans le même ordre d’idées, la téléphonie mobile est sans cesse en expansion et les services offerts par ce secteur s’améliorent davantage en suivant notamment les évolutions technologiques. Car, il faut dire que le secteur des TIC est en perpétuelle mutation. Et de façon concrète, ce sont les modes de vie des populations, leur confort, les capacités de production des entreprises, la célérité des administrations qui ont fait un saut qualitatif grâce aux TIC. On ne se lasse dès lors pas d’en vanter les mérites. Mais le Cameroun est-il vraiment dans le vrai dans ce domaine ? Des doutes sont permis.

En effet, malgré sa stabilité politique, son potentiel économique, la qualité de ses ressources humaines, son potentiel infrastructurel etc, le Cameroun est encore un pays où la pénétration et l’utilisation des TIC est des plus modestes. Les chiffres sont éloquents à ce sujet. Ainsi, d’après les résultats d’une enquête nationale (Scan ICT) menée au cours de l’année 2006 par le ministère des Postes et Télécommunications et des partenaires au développement, seulement 30% du territoire camerounais est couvert par les services de téléphonie. On y enregistre une télé densité fixe de 0,7% et mobile de 15% en 2005. 7% des institutions et entreprises sont équipées d’un ordinateur. Moins de 27% des administrations sont connectées à Internet et enfin moins de 2% (0,16%) de la population camerounaise utilise Internet. En 2009, ces chiffres n’ont pas évolué de manière significative. Le domaine est donc encore en friches.

Toutefois, il y a bon espoir que les choses s’accélèrent. La volonté est clairement affichée de toutes parts de prendre le train de la modernité. Ainsi, il existe une réelle volonté politique pour que le Cameroun ne reste pas à la traîne. Les secteurs TIC et des télécommunications sont particulièrement « encadrés » par l’Etat. Il est ainsi responsable de l’ensemble du processus de mise en œuvre et de contrôle. Il est aidé en cela par des structures comme l’Agence nationale des Technologies de l’information et de la communication (ANTIC) a laquelle est dévolue la mission de promouvoir et de suivre l’action gouvernementale dans le domaine des TIC. Pour sa part, l’Agence de régulation des télécommunications (ART) est l’institution publique chargée de la régulation, du contrôle et du suivi des activités du secteur des télécommunications au Cameroun.

Sur un plan plus fonctionnel, les TIC rencontrent une grande adhésion auprès des populations et des entreprises. Le secteur a par exemple contribué à l’émergence de nouveaux métiers. Et dans le domaine de la formation, les cursus sont de plus en plus pointus. Par-dessus tout, le secteur des TIC et des télécommunications est un champ économique très fertile. Les activités de la téléphonie par exemple sont en nette croissance et les investissements et les dividendes y sont importants. Du reste, en ce moment, c’est l’un des secteurs les plus prospères en Afrique et particulièrement au Cameroun. Mais il faut rester vigilant et continuer à combler le fossé numérique ce qui est loin d’être un acquis. Affaire à suivre de près…

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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 07:47

Le Quotidien Mutations (Yaoundé)

Ce site Web créé il y a trois mois, fait de la bonne cause sa mission.


On y trouve par exemple des sujets pour décrypter l'après Bongo au Gabon. C'est la version "bêta" qui a été choisie par les concepteurs pour démarrer le projet. "C'est une première version qui va être régulièrement revue et complétée. Il était important pour nous dès le départ, d'intégrer trois idées : un média pour ouvrir au grand public des domaines jusqu'à ce jour relativement spécialisés ; une proximité réelle à des projets solidaires et la possibilité de faire partie d'une communauté pour, à nouveau mieux connaître, partager et peut-être, oser aller un cran plus loin dans son engagement", explique la fondatrice dans une interview accordée à un magazine en ligne. Reste maintenant aux internautes de montrer leur "engagement" en allant visiter le site
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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 07:44

Le Quotidien Mutations (Yaoundé)

interview

Le Dp et administrateur du site lintelligentdeyaounde.net explore les réalités de cette profession en expansion au Cameroun.

Comment travaillez-vous dans le cadre de votre site ? Est-ce au quotidien ? Est-ce selon l'actualité ?

Etablissez-vous une différence entre le cyberjournalisme que vous pratiquez et le journalisme classique. Notamment au plan de l'écriture ?

On parle de la toile comme un espace libre. Est-ce pour cette raison que vous n'êtes pas astreints au respect de la déontologie et des lois d'un pays ?

Un journal en ligne est un journal comme les autres. Si nous mentons ça nous rattrape. Les lecteurs ne visitent plus notre site, on n'a pas de pub et on meurt. Quand vous rencontrez un annonceur il vous demande combien de visiteurs vous avez. Vous ne pouvez pas mentir parce qu'il suffit d'entrer dans le serveur pour le savoir.

Vous pratiquez le Cyber journalisme depuis 2007. Comment y êtes vous arrivé ?

J'ai reçu une formation journalistique classique. J'ai travaillé pour quelques journaux imprimés paraissant à Yaoundé. Avant de lancer un périodique d'enquête que j'ai appelé l'Intelligent de Yaoundé. Pour arrimer le projet à la modernité, j'ai mis en place un site web pour ce journal. Avec le temps, je me suis rendu compte que les charges d'imprimerie étaient asphyxiantes. Et les entrées ne suivant pas, j'ai déposé le bilan.

Quelle est la plus value de la cyberpresse, selon vous ?

C'est indéniablement l'instantanéité et la faiblesse des coûts de production, qui sont vraiment modestes. En plus, avec la cyberpresse, on peut faire du direct comme en télévision et en radio. Comme on peut réécouter ou visionner à nouveau un élément. En plus, aucun document ne se perd sur la toile. Grâce aux moteurs de recherche on les retrouve toujours, d'où l'éternité.

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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 07:37

Selon le rapport de pyramid research, seule une nouvelle société de téléphonie viendra baisser les tarifs de communication, et améliorer la qualité du service

“ Le Cameroun se caractérise par des prix à la minute élevés et un faible taux de pénétration par rapport au Pib par habitant, avec seulement 30% fin 2008 ”, indique le rapport communications markets in Cameroon (les marchés de la communication au Cameroun) publié le mois dernier par pyramid research, la filiale de recherches en télécommunication de light reading communications network.
Cette situation, estime le rapport de 23 pages réalisé par Mme Yejide Onabule, analyste chez pyramid research, est appelée à se modifier rapidement. L’arrivée d’un troisième opérateur de téléphonie mobile et l’augmentation de l’utilisation des services mobiles devraient entraîner la baisse des prix, grâce à la pression réglementaire. Le rapport prévoit plus que le doublement du taux de pénétration du mobile au cours des cinq prochaines années, en passant de 36%, estimation pour 2009, à 80% en 2014.
“ Il existe actuellement trois grands acteurs sur le marché des télécoms au Cameroun : l’inamovible Camtel, qui domine le marché du fixe, Mtn et Orange qui se partagent celui du mobile ”, peut-on lire dans le rapport.
L’arrivée annoncée de Camtel sur le marché de la téléphonie mobile, estime l’auteur du rapport, “ affectera notamment la part de marché de Mtn, tandis qu’Orange conservera une position plus stable ”.

Fausse alerte !
Camtel, en effet, va bénéficier de sa qualité d’unique opérateur sur le réseau filaire fixe qui va lui conférer un avantage en tant que fournisseur de services combinés. Toutefois, il lui faut d’abord réussir son processus de privatisation.
Son arrivée comme troisième opérateur est annoncée depuis longtemps. En mai 2006 déjà, la mise en service de Cameroon mobile telecommunications, sa filiale mobile, avait été annoncée avec un capital social de 600 millions de Fcfa, 900 000 euros. Depuis, rien de concret malgré plusieurs déclarations jusqu’en décembre 2008. Le ministre d’Etat, en charge des Postes et télécommunications, Bello Bouba Maïgari, informe alors les parlementaires de son entrée en service. Fausse alerte, une nouvelle fois, puisque l’appel d’offres pour sa privatisation était déclaré infructueux par le ministre des Finances dans un communiqué en date du 15 janvier dernier. “ Au terme du processus d’évaluation des deux propositions techniques et financières reçues par rapport à la stratégie et aux objectifs fixés par les autorités en matière de développement du secteur des télécommunications, le gouvernement a décidé de déclarer infructueux ledit appel d’offres ! Une nouvelle stratégie de réforme sera définie dans la perspective d’un partenariat public-privé permettant d’accompagner financièrement et techniquement le développement de Camtel. ”
L’évolution du marché, ainsi liée à la réussite de la privatisation de Camtel , suppose aussi que par la suite les trois opérateurs investissent dans la modernisation et l’amélioration de leurs réseaux et services pour que des vitesses de connexion supérieures et de nouvelles applications puissent entraîner une augmentation de l’utilisation du haut débit mobile et d’autres services d’accès aux données.
 

Par Par HANCE GUEYE, Dakar
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 11:50

Quels sont les grands projets retenus cette année dans le cadre de votre programme 21 days of Y’ello Care ?


Pour cette troisième édition de notre programme de bienfaisance ‘’21 days of Y’ello Care’’, le staff de Mtn s’est engagé à financer et à réaliser une dizaine de projets à travers nos régions. Dans le Centre qui regroupe les régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est, nous allons participer à la construction de logements sociaux à Obala, en partenariat avec l’Ong ‘’Habitat for Humanity’’. Vous êtes sans ignorer que le besoin en habitats décents reste une préoccupation pour nos communautés, et pour satisfaire la demande actuelle et les besoins futurs en logements, il faut construire au Cameroun, 70 000 nouveaux logements chaque année pendant deux décennies. Le Staff Mtn souhaite apporter sa pierre à cet édifice.
Dans le Littoral qui couvre les régions du Littoral et du Sud-Ouest, nous sommes mobilisés pour reconstruire six salles de classe, un bloc administratif et des toilettes à la Cameroon Baptist Convention School de Buéa. Cette école avait pour marraine, notre ancien directeur financier, Sarah Stewart qui avait trouvé la mort dans le crash du 5 mai 2007 (Mbanga Mpongo, ndlr). Nous allons également faire un don de sang à la banque de sang de l’hôpital Laquintinie de Douala qui en a grand besoin, pour sauver des vies. Nous mènerons aussi une campagne de sensibilisation à la sécurité routière, avec les Bend-Skins (moto-taxis). Et, nous donnerons un peu de joie aux enfants de la rue, avec pour ambition de les aider à se réinsérer grâce au football et à l’école, entre autres.
Dans la région du Nord qui comprend l’Adamaoua, le Nord et l’Extrême-Nord, nous comptons procéder au ramassage des sacs plastiques dans les villes de Ngaoundéré, Garoua et Maroua, afin d’attirer l’attention sur ces sacs qui font partie de notre quotidien et qui représentent une source importante de pollution contre laquelle plusieurs Etats légifèrent aujourd’hui de par le monde.
Dans la région de l’Ouest qui couvre les régions administratives de l’Ouest et du Nord-Ouest, nous procéderons à la rénovation de deux terrains de football à Bafoussam et Bamenda.
Mais, de manière générale, un projet central sera au cœur de la plupart de nos activités : la lutte contre le paludisme, qui est un engagement majeur du Groupe Mtn dans le cadre de notre sponsoring de la Coupe du monde 2010, et au-delà. Au Cameroun, le paludisme constitue 40% des décès des enfants de 0 à 5 ans et représente 35 à 40% du total des décès dans les formations sanitaires. Nous allons le combattre en menant une campagne de prévention. Nous déploierons également des cliniques mobiles, pour soigner ceux qui en souffrent. Je n’oublie évidemment pas les orphelinats et les centres de personnes nécessiteuses auxquels nous viendrons en aide, comme il est désormais de coutume dans le cadre des 21 days of Y’ello Care.


Par rapport aux années précédentes, y a –t-il des innovations ?


Oui. Le programme de bienfaisance ‘’21 days of Y’ello Care’’ est déjà en lui-même une innovation de taille, dans le monde de l’entreprise. Il connaît des évolutions d’année en année. L’édition de cette année, par rapport aux deux précédentes implique davantage les communautés locales et les partenaires de Mtn dans la réalisation de nos projets. Plusieurs entreprises de la place avec lesquelles nous travaillons au quotidien nous accompagnent dans la construction de nouvelles salles de classe à la Cameroon Baptist Convention School de Buéa. Pratiquement tous les projets sont réalisés en association avec des partenaires locaux. La Fondation Shemka, Hysacam et la mairie de Douala III par exemple, prennent une part active dans la campagne de lutte contre le paludisme. WWF nous accompagne dans le ramassage de sacs plastiques. L’Ong Habitat for Humanity nous accompagne sur son chantier de construction de logements à Obala. L’hôpital Laquintinie va recueillir notre don de sang et l’auto-école française nous accompagne dans la campagne de sécurité routière avec les Bend-Skins.


Comment se déroule le choix des projets, quels sont les critères qui guident votre choix ?

Certains projets résultent des sollicitations que les communautés nous adressent dans le cadre de l’engagement social et citoyen de notre entreprise. Mais, dans l’ensemble, les projets sont librement définis par le staff de Mtn, à condition qu’ils s’inscrivent dans le domaine social : éducation, santé, environnement, habitat, logement, cadre de vie, développement communautaire, aide aux nécessiteux notamment. Ils doivent être réalisés dans la durée du programme, 21 jours, et avoir un réel impact sur la vie des communautés auxquelles nous venons en aide.

Qu’est-ce-qui est à la base de la mise sur pied de ce concept. Mtn s’est-elle aperçue qu’elle n’en faisait pas assez pour les communautés locales ?

Vous ne devez pas minimiser l’engagement citoyen de Mtn pour le bien-être des communautés. Mtn Cameroon est une entreprise citoyenne ; une entreprise qui a du cœur. Nous partageons entièrement la philosophie de partage et de solidarité de notre compagnie, le Groupe Mtn. Surtout, nous pensons qu’il est important de redonner un peu de ce que nous gagnons, aux communautés qui font de nous ce que nous sommes. Mtn a ainsi lancé en février 2006, la Fondation Mtn, la toute première fondation d’entreprise jamais créée au Cameroun. La Fondation Mtn oeuvre au bien-être des communautés, en particulier dans les domaines de l’éducation, de l’environnement, de la santé, du développement communautaire, de l’art et de la culture. Maintenant, il y a l’entreprise, et il y a les employés de l’entreprise. Le programme ‘’21 days of Y’ello Care’’ n’est pas mené par l’entreprise ; c’est l’affaire des employés qui, pendant 21 jours, donnent un peu de leur argent et de leur temps, pour œuvrer eux aussi, comme l’entreprise qui les emploie, au bien-être des communautés. Je précise que le programme 21 days of Y’ello Care se déroule en même temps dans tous les 21 pays où le Groupe Mtn est représenté.
Au Cameroun, ce programme nous permet par ailleurs d’exprimer certaines des valeurs de notre entreprise. Tenez par exemple, le Can Do (dépassement de soi), il transparaît de notre engagement à Buéa : si nous parvenons à construire cette école en 21 jours, nous aurions démontré qu’à force de volonté, il est possible d’offrir à nos jeunes frères et à nos enfants, un cadre décent pour leurs études. Tenez aussi le leadership qui est une de nos valeurs : nous voulons montrer avec nos actions contre le paludisme, le don de sang, la construction de logements à Obala, le ramassage de sacs plastiques au Nord, l’exemple à suivre pour résoudre de vrais problèmes sociaux qui nous interpellent.

Par Entretien avec Essomba Franck
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 07:41
windows_7_RCComme convenu, Microsoft a étendu mardi la disponibilité de la Release Candidate, ou RC, de son futur système d'exploitation, Windows 7.
Tout internaute est donc désormais en mesure de télécharger et d'installer gratuitement Windows 7 RC, proposé en cinq langues dont le français. Les accès sont ouverts jusqu'au 1er juillet prochain, indique Microsoft.

Pour l'éditeur, l'ouverture des tests à l'ensemble des particuliers et entreprises est le meilleur moyen de recueillir les retours de la plus large population possible, qui lui serviront à corriger les éventuels problèmes subsistant au sein de son futur système, dont la version finale est supposée voir le jour aux alentours du 23 octobre prochain.

Pour télécharger et installer Windows 7 RC, il suffira de passer par cette page, et de s'identifier à l'aide d'un compte Passeport, Hotmail ou Windows Live ID. Il faudra ensuite déterminer si l'on souhaite une version 32 bit ou 64 bit du système. L'utilisateur se verra alors attribuer un numéro de licence permettant de valider l'installation du système, puis accèdera aux liens de téléchargement.

téléchargement windows 7 rc

Les licences accordées dans le cadre du programme de test de la RC de Windows 7 sont valables jusqu'au 1er juin 2010. A compter du 1er mars 2010, le système se coupera toutefois automatiquement toutes les deux heures.

Le téléchargement se déroule par l'intermédiaire d'un gestionnaire faisant appel à la technologie Java. Si Microsoft conseille le recours au navigateur Internet Explorer, nous avons pu télécharger la RC de Windows 7 à partir de Firefox sans encombre.

téléchargement windows 7 rc


Le système se présente sous la forme d'une image ISO - 2,47 Go pour la version 32 bits - qu'il faudra graver sur un DVD avant de procéder à l'installation. Microsoft indique qu'il n'est pas possible de migrer d'une version bêta de Windows 7 à cette RC : il faudra procéder à une nouvelle installation, et avoir pris soin de sauvegarder ses informations personnelles.

Nous reviendrons plus longuement sur le sujet dans le courant de la journée, avec un dossier présentant en détails les nouveautés de Windows 7 RC.

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 07:38
windows_7_RCWindows 7 sera commercialisé à partir du 22 octobre. Microsoft a confirmé cette date et annoncé qu’un programme de transition vers le nouvel OS sera proposé aux clients ayant acheté un PC équipé de Vista, sans en indiquer les conditions.

Microsoft a enfin officialisé la date de sortie de Windows 7 fixée au jeudi 22 octobre. Ceci confirme donc les rumeurs qui circulaient depuis plusieurs mois autour d'un lancement en cette fin d'année et non pas en 2010 comme la firme de Redmond le soutenait il y a encore peu de temps.

On sait combien le lancement, et le succès espéré, de ce nouvel OS est crucial pour Microsoft. La firme de Redmond doit absolument faire oublier la déception suscitée par Vista, tout en tournant la page à Windows XP qui n'en finit plus de jouer les prolongations, notamment grâce au marché du "low cost".

Programme de migration gratuite vers Windows 7

Justement, Microsoft a déjà annoncé que Windows 7, contrairement à Vista, sera disponible pour les ultraportables à bas prix via une édition dite Starter. Un choix ô combien stratégique à l'heure où un nouvel acteur majeur, Android, pourrait venir jouer les trouble-fête sur le marché si porteur des netbooks et de leurs petits frères, les nettops.

Concernant les PC de bureau et les portables plus classiques, l'éditeur a enfin confirmé qu'un programme de migration gratuite vers Windows 7 était prévu pour les clients ayant acheté une machine sous Vista, sans donner plus de détails.

Autre inconnue de taille : le prix des différentes versions. (Eureka Presse)
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 07:28
Une holding lancera la production de médicaments contre le paludisme, le sida et la tuberculose

Le Cameroun devrait bientôt limiter ses importations de médicaments génériques. C’est l’objectif poursuivi par la convention tripartite de financements signés le 20 mars dernier à Douala entre Cadys Invest, une holding propriétaire de la filiale pharmaceutique Cinpharm, un pool bancaire camerounais (l’acteur prêteur) et la DEG allemande. Le pool bancaire camerounais, qui apporte ce prêt de 4 milliards, est constitué de la Commercial Bank of Cameroon, d’Ecobank et de la Bicec. C’est un des crédits industriels les plus importants apportés au secteur privé camerounais ces dernières années. Selon Philippe Kreutz, membre du conseil d’administration de la DEG, l’engagement de son institution apporte ainsi une contribution décisive à la relance durable de la production pharmaceutique comme secteur industriel de poids en Afrique centrale francophone. CADYST-Invest a déjà démontré ses compétences dans la restructuration d’entreprises dans des secteurs variés. Créé en 1988 par le laboratoire français Rhône Poulenc et racheté en 2006 par Cadyst-Invest, Cinpharm, à travers son usine de fabrication de médicaments génériques produira des antidouleurs, des antipaludéens, des antiparasitaires, des antirétroviraux et des antituberculeux. Le type de médicaments fabriqués devrait être des génériques simples.


Le générique, est un médicament dont la formule est tombée dans le domaine public (après une quinzaine d’années d’exploitation exclusive par le laboratoire ayant découvert la formule), commercialisé sous la dénomination de son principe actif, indépendamment du laboratoire pharmaceutique d’origine, Il s’agit ici du médicament qui est donc vendu sous sa dénomination commune internationale (Dci). Il coûte extrêmement moins cher parce que le fabricant ne supporte pas, entre autres, les frais de la recherche ayant conduit à l’obtention du brevet. A côté de ce générique simple, les fabricants ont créé ce que les pharmaciens appellent le générique de marque. C’est du générique mais commercialisé non pas sous sa Dci, mais sous un nom de marque. Il coûte plus cher que le générique simple.

 

© blogs.ionis-group.com
Ainsi, l’usine constituée de trois unités de production permettant de fabriquer des comprimés et des sirops, des antibiotiques à base de pénicilline et des solutés massifs injectables. Le secteur pharmaceutique dans le groupe Cadyst-Invest permettra par exemple, de passer à une production globale de 13,5 millions de poches de perfusion par an, contre 3,5 millions produites actuellement par la société industrielle de produits pharmaceutiques (Sipp). La synergie Cinpharm-Sipp apportera un souffle nouveau à l’industrie pharmaceutique camerounaise, une expertise et une caution dans la fabrication des médicaments génériques. L'objectif étant la modernisation de l'outil de production selon les normes de l'Oms, l'élargissement de l'offre à l'ensemble des médicaments essentiels génériques, l'offre de produits pharmaceutiques à des prix abordables pour soutenir les couches sociales les plus défavorisées, la négociation de partenaires de fabrication sous licence avec les laboratoires de renom.

Pour Célestin Tawamba, patron de la holding holding Cadys-Invest, près des deux tiers des décès causés par le Sida, le paludisme, et la tuberculose dans le monde surviennent en Afrique. Ces pandémies érodent le potentiel de développement économique et social du continent africain. Il est par conséquent urgent d’y améliorer l’accès aux médicaments essentiels de qualité. Nous aurons réalisé un rêve, si le Cameroun à travers notre filiale de fabrication de médicaments génériques, était le point focal de production et distribution de ces médicaments essentiels en Afrique centrale et même au-delà. Le représentant de la Cbc, une composante du pool bancaire prêteuse d’argent, estime pour sa part que les activités de la Holding porte sur l’alimentation et la santé, secteurs stratégiques qui constituent pour les pouvoirs publics des axes prioritaires dans le cadre du développement, de l’économie nationale et du bien-être des population. Des activités structurantes qui ont un effet d’entraînement sur l’économie dans son ensemble et qui sont de par leur nature industrielle, source de création de valeur ajoutée, de richesse et d’emplois Si les prévisions de livraison des travaux actuellement en cours sur le site devant accueillir la société Cinpharm sont respectées, le Cameroun devrait accueillir les premiers génériques fabriqués par Cinpharm à l’horizon 2010. Bien sur cette initiative ne règlera pas à elle seule la question du coût des médicaments car dans certains cas de maladie, le générique simple reste inefficace.
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3) Comment trouver des fonds auprès des organisations de financement ?
4)Tout savoir avant entamer un projet dit de  Developpement
5) Stratégie Nationale de Développement des TIC au Cameroun
6)Glossaire de mot de developpement.pdf
 

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