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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 15:03

ticLes Technologies de l’information et de la communication (TIC) sont aujourd’hui un instrument incontournable dans la perspective du développement des populations à la base. Plus qu’un phénomène de mode quasi planétaire, il est difficile d’y échapper. Et arrimer le Cameroun à la société mondiale de l’information et des savoirs en émergence est devenu, une priorité nationale et un enjeu majeur aussi pour le développement économique que pour l’émancipation intellectuelle des populations. En tout cas, les pouvoirs publics camerounais en ont pris conscience et entendent bien utiliser les Technologies de l’information et de la communication, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et de la promotion du développement. Il est question de faire entrer le pays dans l’ère du savoir, du savoir-faire et du savoir-être. Il est impensable d’assurer l’ouverture, la compétitivité et l’attractivité du Cameroun dans le monde sans une réelle appropriation d’internet et des autres TIC. Il en va de même pour les télécommunications qui connaissent un grand boom un peu partout dans le monde avec l’expansion de la téléphonie mobile principalement et des évolutions technologiques.

De façon visible, le Cameroun semble avoir pris le train de l’évolution technologique et essaie tant bien que mal de suivre la cadence. Internet est une réalité au Cameroun. Les autres TIC aussi. Par ailleurs, dans le secteur des télécommunications, il y a également des acquis. Aujourd’hui, la fibre optique est une réalité au Cameroun. Et son émergence est d’un apport incommensurable dans l’évolution des TIC. Dans le même ordre d’idées, la téléphonie mobile est sans cesse en expansion et les services offerts par ce secteur s’améliorent davantage en suivant notamment les évolutions technologiques. Car, il faut dire que le secteur des TIC est en perpétuelle mutation. Et de façon concrète, ce sont les modes de vie des populations, leur confort, les capacités de production des entreprises, la célérité des administrations qui ont fait un saut qualitatif grâce aux TIC. On ne se lasse dès lors pas d’en vanter les mérites. Mais le Cameroun est-il vraiment dans le vrai dans ce domaine ? Des doutes sont permis.

En effet, malgré sa stabilité politique, son potentiel économique, la qualité de ses ressources humaines, son potentiel infrastructurel etc, le Cameroun est encore un pays où la pénétration et l’utilisation des TIC est des plus modestes. Les chiffres sont éloquents à ce sujet. Ainsi, d’après les résultats d’une enquête nationale (Scan ICT) menée au cours de l’année 2006 par le ministère des Postes et Télécommunications et des partenaires au développement, seulement 30% du territoire camerounais est couvert par les services de téléphonie. On y enregistre une télé densité fixe de 0,7% et mobile de 15% en 2005. 7% des institutions et entreprises sont équipées d’un ordinateur. Moins de 27% des administrations sont connectées à Internet et enfin moins de 2% (0,16%) de la population camerounaise utilise Internet. En 2009, ces chiffres n’ont pas évolué de manière significative. Le domaine est donc encore en friches.

Toutefois, il y a bon espoir que les choses s’accélèrent. La volonté est clairement affichée de toutes parts de prendre le train de la modernité. Ainsi, il existe une réelle volonté politique pour que le Cameroun ne reste pas à la traîne. Les secteurs TIC et des télécommunications sont particulièrement « encadrés » par l’Etat. Il est ainsi responsable de l’ensemble du processus de mise en œuvre et de contrôle. Il est aidé en cela par des structures comme l’Agence nationale des Technologies de l’information et de la communication (ANTIC) a laquelle est dévolue la mission de promouvoir et de suivre l’action gouvernementale dans le domaine des TIC. Pour sa part, l’Agence de régulation des télécommunications (ART) est l’institution publique chargée de la régulation, du contrôle et du suivi des activités du secteur des télécommunications au Cameroun.

Sur un plan plus fonctionnel, les TIC rencontrent une grande adhésion auprès des populations et des entreprises. Le secteur a par exemple contribué à l’émergence de nouveaux métiers. Et dans le domaine de la formation, les cursus sont de plus en plus pointus. Par-dessus tout, le secteur des TIC et des télécommunications est un champ économique très fertile. Les activités de la téléphonie par exemple sont en nette croissance et les investissements et les dividendes y sont importants. Du reste, en ce moment, c’est l’un des secteurs les plus prospères en Afrique et particulièrement au Cameroun. Mais il faut rester vigilant et continuer à combler le fossé numérique ce qui est loin d’être un acquis. Affaire à suivre de près…

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 15:00

Le Quotidien Mutations (Yaoundé)

Google à la conquête du canapé? Pas directement. Mais le fabricant de puces électronique Mips commence à rendre public le code source de son portage d'Android, le système d'exploitation de Google initialement conçu pour les smartphones comme le G1. De quoi ouvrir la porte à l'arrivée d'Android dans des magnétoscopes numériques et des téléviseurs nouvelle génération.

Dans une interview au "New York Times", Art Swift, de Mips, ne tarit pas d'éloges sur Android: "C'est vraiment une belle pièce d'architecture système, facilement personnalisable et polyvalente. En 25 ans dans ce secteur, je n'ai jamais vu une technologie décoller aussi rapidement", se félicite-t-il. Un enthousiasme pas forcément dénué d'arrière-pensées: Ars Technica rappelle que Mips est en perte de vitesse face à son concurrent Arm.

Basé sur un noyau linux, Android a démarré comme système pour téléphones mobiles uniquement. Mais rapidement, des bidouilleurs ont réussi à le porter sur un netbook (un mini ordinateur portable). Le système est en effet open-source, et chacun est libre d'accéder au code et de le modifier selon ses besoins. Les téléviseurs "intelligents" étaient l'une des tendances du Ces 2009 de Las Vegas.

Yahoo a notamment signé un accord avec Intel pour intégrer à la télé ses widgets, des petits modules graphiques type météo, cours de bourse ou fil d'actualité. Mais avec Android, Mips -et d'autres- ne visent pas seulement la télévision. Boîtes multimédia, cadres photo numérique, VoIp... Ils pourraient faire d'Android le coeur ouvert d'une maison digitale communicante. Avec Android, Google a grandement élargi son horizon. Sans parler de l'annonce de Chrome Os, un système d'exploitation light qui veut faire d'Internet son centre nerveux. Plus que jamais, Microsoft et Apple ont un sérieux concurrent

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 14:45

jakayaIl y a quelques semaines, le chef de l’Etat tanzanien Jakaya Kikwete, par ailleurs, président en exercice de l’Union africaine a procédé à l’inauguration du projet de câble sous-marin EAssy, l’un des plus grands en Afrique. Le câble sous-marin EAssy inauguré fournira, entre autres, des connexions internet permettant de transmettre des informations à une vitesse jusqu’à 40 fois supérieure à celle des connections par ligne téléphonique. L’idée faisait déjà son bonhomme de chemin un peu partout en Afrique. La Tanzanie n’est donc pas à proprement parler, pionnière de cette technologie en Afrique. Du reste, Eassy connectera l’Afrique du Sud, le Mozambique, Madagascar, la Tanzanie, le Kenya, Djibouti et le Soudan. Treize autres pays limitrophes devraient également en bénéficier : le Botswana, le Burundi, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Tchad, l’Ethiopie, le Lesotho, le Malawi, le Rwanda, le Swaziland, l’Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe.

D’après de nombreux experts, la fibre optique devrait permettre à terme de faire baisser de façon drastique les coûts des télécommunications et surtout elle permettrait d’améliorer considérablement la qualité des échanges. Dès lors, en termes de rapport qualité et coût, seul celui qui possédera la fibre optique, aura son mot à dire dans le domaine des télécommunications. D’où la guerre de positionnement que l’on observe aux quatre coins du monde. Et dans la bataille qui fait déjà rage loin de nous, les prémices d’une lutte de positionnement stratégique sont une réalité au Cameroun.

Ainsi, au cours des derniers jours en effet, la fibre optique s’est invitée dans le débat public à la suite d’une bisbille entre deux opérateurs du secteur des télécommunications. Le 5 août dernier, une grande palabre- à huis clos certes- s’est tenue entre les responsables de Camtel et ceux de MTN Cameroon dans les services du gouverneur de la région du Littoral. Qu’est ce qui ne tourne pas rond ? Il se trouve qu’au cours des dernières semaines, l’opérateur de téléphonie mobile MTN Cameroon a entrepris des travaux d’exploitation de la fibre optique dans la ville de Douala. Cette démarche se serait faite en violation de la réglementation en vigueur, et précisément le décret 77 sur les télécommunications, et l’accord de convention entre l’ART et l’Etat du Cameroun.

Chacun à sa place

En l’état actuel des choses, l’exclusivité de l’exploitation de la fibre optique reviendrait à Camtel. D’où l’injonction faite à MTN Cameroon de surseoir à la poursuite de ses travaux en attendant que l’Agence de régulation des télécommunications (ART) s’exprime sur la question. Toujours est-il qu’en aucune façon, il n’est question de brider qui que ce soit et encore moins d’empêcher quelque compagnie que ce soit d’améliorer la qualité de son réseau parfois en proie à des dysfonctionnements qui pénalisent les consommateurs. C’est en tout cas l’argument sur lequel se fonde MTN pour justifier son action. Seul le souci d’offrir une meilleure qualité de service à ses clients a poussé l’entreprise à effectuer des travaux à Douala.

Mais du côté de Camtel l’explication est insuffisante. Et on reproche à MTN de vouloir outrepasser son champ d’action. Camtel a, selon un arrêté du ministère des Postes et télécommunications daté du 18 mai 2001, l’exclusivité dans les liaisons de transmission interurbaines. D’une façon générale, la charge de l’investissement en infrastructures est d’après la loi dévolue à Camtel. C’est donc dans ce contexte que la météo s’est dégradée entre Camtel et MTN qui pourtant jusque là entretenaient des rapports apparemment cordiaux. Et pour éviter l’escarmouche, les autorités de la région du Littoral ont offert leurs bons offices. Il n’en reste pas moins que c’est l’ART, l’organe de régulation qui devrait donner la ligne de conduite à suivre par les uns et les autres. Cet avis est toujours attendu.

Mais la situation conflictuelle entre Camtel et MTN aurait bien pu opposer d’autres opérateurs du secteur des télécoms entre eux. D’où la nécessité pour chacun de respecter les limites légales de son action. Cette bisbille rappelle en tout cas, qu’il y a une urgence à repréciser le champ d’action de tout un chacun. La tentation du tout-profit de certains acteurs pourrait bien susciter des crises plus importantes que celle que l’on observe en ce moment. Par dessus tout, l’Etat devrait encore être le maître du jeu dans le secteur stratégique des télécoms. En tout pour le cas d’espèce l’arbitrage de l’ART devrait renvoyer chacun à sa vraie place. En attendant d’autres évolutions…

Simon Pierre ETOUNDI. Cameroun Tribune

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 14:10

Le ministre de l’enseignement supérieur a inauguré les locaux la semaine dernièreC’est dans l’habituelle ambiance de fête que les bâtiments nouvellement construits au sein de l’Université de Yaoundé I, et devant abriter la future Université Virtuelle d’Afrique Centrale(UVAC) a été inaugurée. Etaient présents Jaques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur et le Pr. Oumarou Bouba, recteur de l’UYI, qu’accompagnaient d’autres personnalités. Le bâtiment baptisé Bloc pédagogique 1300 est constitué de cinq amphithéâtres de 150 à 250 places, six salles de travaux dirigés de 70 places chacune, deux bureaux pour la recherche, et deux pour les juniors entrepreneurs. Autre composante, deux salles informatiques de moyenne dimension.

Le Cameroun a été choisi en 2006, pour abriter le Centre sous-régional de l’Afrique centrale, du projet Inde-Union africaine de réseau virtuel. Selon jacques Fame Ndongo, le choix de l’université de Yaoundé I se justifie par le fait qu’elle est la plus ancienne des institutions universitaires du Cameroun. Et aussi parce qu’elle couvre pratiquement tous les différents domaines de formation en Afrique centrale. Sur un tout autre plan, le pays bénéficie dans le domaine des nouvelles technologies d'un réseau approprié, grâce non seulement à son accès au câble sous marin à partir de Douala. Il ambitionne par ailleurs à bénéficier pleinement capacités éventuelles, offertes par la fibre optique qui longe le pipeline Tchad-Cameroun.

 

© www.navimag-pro.com

Un accord sur le projet entre l'Afrique centrale et l'Inde existe depuis 2006, dans le cadre de formations spécifiques. Les universités indiennes partenaires proposeront plusieurs formations. On y retrouvera entre autres, le tourisme, le management, l'économie, le marketing, le droit etc. Il revient aux universités locales de faire le choix d'une à deux formations à offrir à leurs étudiants, affirme le Pr. Oyono Enguelle, conseiller technique au ministère de l’enseignement supérieure. Les inscriptions se feront en ligne, directement à l'université indienne qui offre la formation choisie. Néanmoins, l'étudiant devra également être inscrit à l'une des universités nationales. Dès le mois d’octobre prochain, débuteront pour un commencer, les formations en mode synchrone, et offert aux étudiants de l'université de Yaoundé I. Les enseignements dans ce contexte se passent sous forme de téléconférence, où seul l'enseignant est ailleurs. Les étudiants eux, sont réunis dans une salle équipée de divers appareils numériques. Les autres universités du pays pourront être connectées dès 2010, mais en mode asynchrone. Les étudiants recevront les cours en léger différé, en présence d'un «tuteur».

Des critiques reprochent déjà au projet son coût élevé. L’étudiant devra deux fois payer la pension. A la restriction financière s’ajoutera certainement une restriction géographique. L’accès à internet n’est toujours pas facile en raison des coûts et de la qualité du débit. L’objectif de viser le plus grand nombre risque d’échouer au regard toutes ces difficultés. Pour les experts du domaine, s'il est possible d’adopter le e-Learning au Cameroun, il demeure vrai qu'une réévaluation de base s'impose pour l'Université Virtuelle d’Afrique Centrale (UVAC), qui a été conçue en vue de parvenir à obtenir une éducation de qualité pour un coût compatible avec le pouvoir d'achat des étudiants potentiels

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 14:06

C’est la principale décision qui ressort de la réunion à huis clos entre Camtel, Mtn Cameroun tenue à Douala, mercredi, 05 août 2009.

 Le cabinet du gouverneur du littoral à Bonanjo à Douala, a abrité le mercredi, 05 août 2009, une concertation à huis clos entre les responsables des sociétés de téléphonie Camtel, Mtn Cameroun, opérateurs économiques. Concertation présidée par le conseiller aux affaires économiques de la région du littoral. La presse n’a pas été autorisée à suivre les travaux qui se sont forcément déroulés dans un climat tendu. La preuve, à la sortie du huis clos, les uns et les autres n’ont pas voulu faire de déclarations. Par exemple, Mme Achidi Achu, responsable régional de Camtel pour le littoral se contente par exemple de lancer dans un ton jugé narquois par les journalistes, « No comment ! No comment ! No comment ! », c’est-à-dire sans commentaire. Du côté de Mtn, c’est également motus bouche cousue. Aucune information de la part de la compagnie de téléphonie mobile. Il faudra beaucoup de négociations voire de supplications, pour arracher enfin, des précisions au conseiller sur les résolutions des travaux.

 

© annualreport.mtn.com

Mtn viole la réglementation. L’arbitrage de l’ART sollicité
On apprend que Mtn Cameroun a été sommé de suspendre immédiatement les travaux entrepris il y a quelques jours dans la cité économique. Travaux relatifs à l’exploitation de la fibre optique dont l’exclusivité est réservée à Camtel, du moins pour le moment. La raison de cet arrêt est claire: Il y a une décision qui a été prise, celle de la suspension des travaux engagés par Mtn Cameroun dans la ville de Douala au sujet de la pose des câbles à fibre optique. C’est une décision préliminaire avant la décision dans le fond que prendra l’ART, explique le conseiller aux affaires économiques de la région. Il se refuse à voir dans cette décision, un moyen d'affaiblir Mtn au profit d’autres compagnies. La faute à Mtn qui a entamé les travaux en violation de la réglementation en vigueur, notamment le décret 77 sur les télécommunications, et puis l’accord de convention entre l’ART et l’Etat du cameroun. C’est ce qui cause des désagréments, souligne le conseiller. Il poursuit en précisant que l’on n’a jamais interdit à la compagnie d’améliorer la qualité de son réseau parfois perturbé au grand dam des consommateurs qui doivent faire face à une situation très désagréable ajouté au coût jugé élevé des tarifs de communication via mobile. Les consommateurs, n’ont pas d’autres choix que subir, et espérer, car le prix ne peut être réduit considérablement que si la fibre optique est bien exploitée, souffle quelqu’un en sourdine dans les rangs. Une démarche que pour le moment, Mtn se voit barrer le chemin.

Dans ce conflit qui commence à prendre un tournant assez inquiétant, les yeux sont désormais rivés sur l’agence de régulation des télécommunications (ART), qui dans son rôle d’arbitre, doit se plancher sur le conflit et trouver une issue au plutôt. « C’est l’ART qui est chargé de ce genre de problème. L’ART a été saisi et nous attendons sa décision dans le fond », indique le conseiller. Affaire à suivre !

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 14:03

Le magazine réalise un dossier sur les enjeux des télévisions panafricaines.

Comnews est un magazine spécialisé en communication, médias et marketing, il a pour cible principale les professionnels de la communication, des Médias et du Marketing et les étudiants qui aspirent à ces métiers. Il est édité par THELI RP, agence de relations publiques dirigé par Thierry Ekouti. Le mensuel comporte sept rubriques, chacune promouvant une spécificité.

La parution du mois présente à sa une, la bataille de positionnement des chaînes de télévisions panafricaines à l’instar de Vox Africa dont les dirigeants (Jules Domche et Rolande Kammogne) font la une, le prétexte étant la soirée de lancement Afrique centrale le 04 septembre au Hilton Hôtel de Yaoundé au Cameroun et Africa 24 qui se positionne comme la première chaîne mondiale d’information pour l’Afrique. Ces trois phases de développement éditorial sont aussi présentées. Cette bataille de positionnement constitue le dossier du mois.

Le Regard de cette édition, parle des 40 ans de la faculté de médecine et des sciences biomédicales de l’Université de Yaoundé 1 (FMSB). Les axes de la communication événementielle ont été évoqués. Une interview nous a été accordée à cette occasion par le doyen de la faculté, le Professeur Tetanye Ekoe et le Directeur de la création, chef du projet Moussinga Bojongo Lucien.

 


Com.news en kiosque

La Vie des médias, fait allusion comme le souligne son nom à ce qu’il y a eu comme innovation, démarcations chez certains medias .L’ on n’y retrouve comme invité appelé « Acteur de la Com » Dr Baba Wame, enseignant de cyberjournalisme et TIC à l’Esstic, l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, Université de Yaoundé 2 qui parle de cyberjournalisme.

Actucom, est le reflet de l’actualité, des mouvements des acteurs dans les agences de communication et les entreprises de la place en matière de communication.

Stratégies /conseils, présente les analyses des nouvelles campagnes de communication avec une chronique de notre publicitologue Gerard Onji’i Essono. Ce mois, les campagnes de Tradex sur la sécurité routière, Beaufort Light, Orange avec ses Angels entre autres ont été passées au crible.

Bonus, est l’habituelle opinion de Haman Mana, directeur de publication du quotidien camerounais « le jour » quotidien national qui lit un livre sur la profession chaque mois pour nous ‘’ media control’’ de Kristina Borjesson a été le sujet de sa lecture du mois. Un billet de
Jean Paul Tchomdou de Tradex parle de l’inculturation ou inculture publicitaire pour boucler la rubrique.

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 13:59

Plusieurs dossiers annoncés au cours de cette confére

Douala abrite ce vendredi, 14 août 2009 une conférence des postes et télécommunications de l’Afrique centrale, COPTAC. En prélude à cette rencontre, les experts des télécommunications se sont réunis comme à l’accoutumée, afin de jauger l’évolution liées à ces secteurs d’activités et décliner les grands axes des travaux. La rencontre de Douala, va regrouper les ministres des postes et télécommunications de la sous région et nul doute qu’ils vont plancher sur plusieurs dossiers. Pour le Cameroun, il s’agira entre autre, de faire l’état des lieux de ces secteurs, présenter les projets dont le combat que mènent les pouvoirs publics contre les dangers des technologies de l’information et de la communication, Tic. Le ministère des postes et télécommunication vient d’ailleurs d’annoncer, la publication prochaine d’un projet de loi sur la cybercriminalité et la cybersécurité d’une part, et un projet de loi qui doit régir la communications électroniques. C’est également ce qui explique le lancement actuel de la vaste campagne d’identification des abonnés aux téléphones fixe et mobile. Campagne qui s’étale sur six mois, et qui vise comme son nom l’indique, à identifier chaque personne détentrice d’un numéro de téléphone, car celui-ci devient de plus en plus, «un moyen pour commettre des infractions du genre menaces, arnaque, chantage, injures, dénonciations calomnieuses, escroquerie, diffamations, attentats, actes terroristes, cybercriminalité, entre autres», selon le ministère. Le phénomène prend de plus en plus d’ampleur, malgré la mise en garde des pouvoirs publics, du régulateur de ce secteur, et de la sensibilisation des opérateurs de téléphonie mobile. Le ministère rappelle qu’après six mois, les numéros non identifiés seront purement et simplement désactivés.

 

© Journalducameroun.com

Missions de la conférence
Les autres participants devront également présenter les avancées et les projets à mener dans leur pays respectif au cours de cette rencontre. L’objectif étant le partage des expériences diverses. Pour mémoire, la conférence des postes et télécommunications de l’Afrique centrale, a plusieurs missions : favoriser les échanges d’informations techniques, d’expériences, de compétences entre les Etats de la sous région. Elle est une plateforme de concertation entre les institutions nationales et les partenaires intervenants dans les secteurs des postes et télécommunications. La conférence des postes et télécommunications de l’Afrique centrale a aussi pour but de définir les conditions économiques et tarifaires sur l’interconnexion des réseaux, harmoniser les politiques nationales relatives au développement des infrastructures des communications dans la sous région.

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 18:43
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C’est un prêt de la Banque européenne d’investissement accordé le 14 juillet 2009.

Le Conseil  d’administration de la Banque européenne d’investissement (Bei), réuni le 14 juillet dernier, a approuvé en faveur du Cameroun, pour le compte de la Camwater, un prêt de 40 millions d’euros, soit environ 26 240 000 000 F Cfa. Ce financement servira à couvrir le renforcement de l’alimentation en eau potable dans les villes de Yaoundé, Bertoua, Edéa et Ngaoundéré. 

Ce prêt vient en complément de celui accordé le 25 juin 2009, d’un montant de 60 millions d’euros, environ 40 milliards de F Cfa, par l’Agence Française de développement (Afd) à Camwater, destiné à la réhabilitation des stations de traitement dans les villes d’Edéa, Bertoua et Ngaoundéré et à la réalisation des travaux de remise en service du complexe Mefou-Messa, à Yaoundé. Les prêts de ces deux institutions financières s’ajoutent aux fonds propres de la Camwater, d’une valeur de 6 560 000 000 Fcfa, et serviront au financement des projets d’amélioration de la desserte en eau potable dans les villes citées plus haut, dont le coût total s’élève à 72 160 000 000 Fcfa.
Selon le directeur général de la Camwater, Basile Atangana Kouna, le démarrage des travaux de réalisation de ces projets est prévu pour le dernier trimestre 2010, le temps pour son entreprise de lancer les appels d’offres, de signer les différentes conventions et de mobiliser les entreprises adjudicataires.
D’autres bailleurs de fonds ont déjà accordé des prêts substantiels à la Camwater pour la réalisation des investissements dans d’autres localités. Il s’agit de Eximbank China dont le prêt de 11 milliards de Fcfa sert à la construction d’une usine de production et de traitement d’eau potable sur le fleuve Moungo pour renforcer l’alimentation dans la ville de Douala. C’est également le cas de la Banque mondiale qui a accordé près de 31 milliards de Fcfa dans le cadre du projet de développement urbain et de l’eau potable (Pdue) ainsi qu’un don de 2,5 milliards de Fcfa destiné à la réalisation de 50 000 branchements subventionnés. Le 14 mai dernier, c’est la Banque africaine de développement (Bad), qui a accordé un financement de 22 milliards de Fcfa destiné à renforcer l’alimentation en eau potable dans 16 localités. 
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 18:39

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C’est le thème de la 5ème édition du Salon de l’administration et de l’entreprise   sur les technologies de l’information et de la communication  qui s’ouvre demain à Yaoundé.
La 5ème édition du Salon international de l’administration et de l’entreprise sur les technologies de l’information et de la communication démarre demain, 21 juillet 2009, à l’hôtel Hilton de Yaoundé. Jusqu’au 24 juillet 2009, ce salon baptisé Forum.net permettra à des spécialistes de débattre des questions de promotion et de vulgarisation des Tic en vue de « booster ce secteur et combler les besoins qui se font de plus en plus grandissants à l’aube de la décentralisation et de la gestion parcimonieuse du patrimoine national », ainsi que le précise Philippe Bikay, président de Forum.net. Experts et consultants internationaux partageront leur savoir et leurs expériences dans un espace de renforcement des capacités.
Sont également prévues des conférences-débats, des foires aux projets Tic et la remise des distinctions aux meilleurs contenus de web.cm, ainsi que le souligne Ebot Ebot Enaw directeur général de l’Antic.  L’édition 2009 permettra de « primer non seulement les jeunes étudiants issus de nos écoles technologiques et porteurs de projets novateurs sur les Tic, mais aussi les gagnants du concours national du meilleur site web en .cm (lire point cm). Ces initiatives ont pour but de promouvoir l’inventivité et de favoriser la présence de contenus web camerounais sur la toile ».
Au Cameroun, les sites et portails web sur Internet mis sur pied çà et là ne jouent qu’un rôle de présence figurative, car l’offre éditoriale est pauvre. Les sites sont rarement mis à jour, enrichis et les informations obsolètes, quoique certaines administrations se démarquent de cette triste réalité.  C’est le constat qui a poussé l’association Forum.net à dédier l’édition 2009 de son Salon de l’administration et de l’entreprise sur les Tic  à la « production et promotion des contenus locaux ».
 
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 18:33
« La terre est (…) une véritable alternative au ciment »

Quels avantages existent-ils avec l’usage des matériaux de construction locaux ?
Ils sont de plusieurs ordres : sur le plan économique, pour deux maisons aux dimensions identiques, l’une construite en Btc et l’autre en parpaing, le coût total de construction de la 1ère est inférieur à celui de la seconde. En terme de disponibilité de matériaux, la terre est là, pas de pénurie, c’est une véritable alternative au ciment. Sur le plan culturel, en utilisant le matériau terre, l’individu reste fidèle à toutes les valeurs culturelles véhiculées par la terre de son milieu. Sur le plan écologique, en terme de processus de fabrication du matériau, il y a très peu de conséquences nocives sur l’environnement. Par rapport au ciment. En outre, la régulation thermique (chaud quand il fait froid et froid quand il fait chaud dans la maison) entraîne une sous consommation énergétique qui dérègle moins l’environnement. Sur le plan esthétique et sécuritaire, la Btc est plus solide que le ciment. Une balle de fusil ne traverse pas la Btc. Ces qualités sont aussi propres au Btm qui est l’expression du savoir-faire ancestral ; leur durée de vie est illimitée si les constructions sont réalisées dans les règles de l’art et l’entretien normal assuré. Pour ce qui est de la Tmv, elle coûte moins chère que la tôle bac ; elle est à coût égal avec la tôle de 3 m : longue durée de vie, entretien facile, bonne insolation thermique et phonique (contre les désagréments relatifs aux bruits et aux changements de température)

Quelles sont les difficultés rencontrées dans cette promotion ?
Nous avons le problème de fonds pour le financement des productions des matériaux et matériels (presse à briques, broyeur de terre, moule, table vibrante). Depuis la sortie de la circulaire du Pm, on se rend compte que la promotion des matériaux locaux n’a pas connu un vrai décollage. Elle devrait être un élément devant booster la dynamique des matériaux locaux dans les constructions. On semble observer un manque de conviction des services administratifs par rapport à la valeur de ces matériaux. La plus importante difficulté est le manque de conviction des populations, elles n’y croient pas. La construction en terre est une construction par défaut. Sur le plan partenarial, il y a une faible mobilisation. Sur le plan technique, il y a des difficultés dans la diffusion du savoir-faire et une faible maîtrise par beaucoup de promoteurs impliqués dans les constructions en terre.

Qu’est ce qui justifie la préoccupation du Cepab dans la promotion des matériaux locaux de construction ?
Le programme de promotion de ces matériaux est né en 2003 sur l’initiative de Mgr Joseph Atanga évêque du diocèse de Bafoussam. A la suite des pertes humaines observées au cours d’un effondrement des maisons à Bafoussam. Il a donc instruit le Cepab de développer un programme de promotion de l’habitat social. C’est-à-dire de l’habitat au service des plus défavorisés. Fort de la contribution des partenaires extérieures tels que Craterre Ensag France (Centre international de la construction en terre de l’école nationale d’architecture de Grenoble), Mipromalo, etc., le programme a vu le jour.
 


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3) Comment trouver des fonds auprès des organisations de financement ?
4)Tout savoir avant entamer un projet dit de  Developpement
5) Stratégie Nationale de Développement des TIC au Cameroun
6)Glossaire de mot de developpement.pdf
 

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