Il y a trois ans, cette jeune camerounaise s’est engagée volontairement dans l’étude et la protection de l’environnement. Mieux-être dont la devise est “ environnement développement durable ”, avec son programme net ozone, œuvre entre autres dans l’information, la sensibilisation, l’éducation et accompagne les populations à la protection de l’environnement et de la couche d’ozone.
Olive Blandine Tchamou, coordonnatrice de cette organisation non gouvernementale, essaie tant bien que mal d’apporter sa touche particulière à la protection de l’environnement. Sans appui des pouvoirs publics, elle se bat contre vents et marrées pour organiser des campagnes de sensibilisation à travers des séminaires et des conférences. En rendant public le bilan des travaux menés dans la zone du parcours vita, elle voudrait par là, lancer un vibrant appel aux pouvoirs publics afin que les mesures adéquates soient entreprises pour mieux protéger cet espace ô combien important, qui permet à des milliers de camerounais d’entretenir et de maintenir leur corps.
Ce document d’une dizaine de pages présente dans son ensemble à la première page, le préambule suivi de la présentation synoptique du parcours Vita. Talonné par la suite par les atouts touristiques et écologiques, l’auteur termine avec l’apologie de la convention de Ramsar de 1971 portant sur la protection de l’environnement dont le Cameroun est signataire depuis 2006. Des exemplaires de ce document ont été envoyés non seulement dans les médias, mais aussi dans les structures concernées pour la circonstance. Aussi, souhait-elle que les pouvoirs publics s’impliquent d’avantage au combat contre la dégradation de l’environnement, et partant, œuvrer pour sa protection