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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 11:58

Telephone portable:Camer.beLes députés camerounais ont interpellé vendredi dernier le département des Postes et Télécommunications sur le coût toujours élevé des communications téléphoniques dans le pays. Répondant à cette interpellation, le ministre des Transports, Bello Bouba Maïgari, qui représentait son collègue Jean Pierre Biyiti bi Essam, absent du pays, a indiqué que le gouvernement a demandé à l'Agence de régulation des télécommunications (ART), structure chargée d'encadrer les prix des opérateurs, d'engager des négociations avec ceux-ci aux fins de revoir leurs plans tarifaires à la baisse. L'intégralité de la réponse du ministre

Le problème des coûts élevés des communications au Cameroun est l’une des préoccupations des Honorables Députés qui n’ont jamais manqué l’occasion de le faire savoir au Ministre des Postes et Télécommunications lors de ses divers passages  devant cette Auguste Chambre.
 
Monsieur le Président, Honorables Députés,

L’un des objectifs du Gouvernement, au moment où il engageait la grande réforme du secteur des Télécommunications/TIC en 1998, était et demeure de le développer, afin de permettre à tous les citoyens  de pouvoir bénéficier des avantages liés à l’utilisation des Télécommunications et TIC, à des prix abordables, quelle que soit leur localisation géographique sur l’ensemble du territoire national.

La géographie du secteur se présente à ce jour ainsi qu’il suit :

- un opérateur de téléphonie fixe (CAMTEL) ;
- deux (02) opérateurs de téléphonie mobile (MTN-Cameroon et Orange-Cameroun) ;
- de nombreux fournisseurs d’accès à l’Internet ;
- plus de sept millions d’abonnés fixe et mobile.

Ces opérateurs, pour exercer leurs activités dans notre pays, ont payé un droit d’entrée, en vue d’obtenir leur licence et consenti de lourds investissements pour mettre en place les infrastructures terrestres des Télécommunications sur l’ensemble du territoire. Le retour à l’investissement est un impératif pour ceux-ci.

Outre ces lourds sacrifices financiers, il faut ajouter les problèmes récurrents d’énergie, dus aux nombreux délestages et coupures de courant qui les contraignent la plus part du temps, à utiliser des sources d’énergie secondaires (groupes électrogènes, batteries d’accumulateurs).

Il convient de rappeler pour mémoire, qu’au moment de la mise en exploitation des licences de téléphonie mobile des opérateurs sus-évoqués dans notre pays en 2000, le coût de la communication était de 500 F la minute. Ce prix est passé entre 2003 et 2005 à 350 F la minute.

Après les malheureux événements que notre pays a connus en février 2008 contre la vie chère, le Gouvernement a prescrit à tous les départements ministériels, chacun en ce qui le concerne, de tout mettre en œuvre pour faire baisser les coûts des produits de première nécessité, y compris les tarifs des télécommunications.

C’est dans ce contexte qu’il a été demandé à l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART), structure chargée d’encadrer les prix des opérateurs, d’engager des négociations avec les opérateurs aux fins de baisser les tarifs des communications.

Une première baisse, concédée par les opérateurs et basée sur les aléas des bonus et des cadrages horaires, a été jugée insuffisante par le Gouvernement. C’est à ce titre qu’il a encore été prescrit à l’ART, de poursuivre les discussions avec les opérateurs, pour faire baisser davantage les prix.

Ces négociations ont abouti, depuis le début de l’année 2010, à une baisse des prix dont la fourchette se situe actuellement en  dessous  de 100 F la minute, pour les trois (03) opérateurs.

En somme, nous sommes passés de 500 F la minute en 2000 à moins de 100 F la minute en 2010. Mais au regard des prix pratiqués par les opérateurs des autres pays de la sous-région, moins nantis que le Cameroun, ces prix sont encore trop élevés pour nos populations et une nouvelle baisse est encore nécessaire.

Il y a deux (02) semaines, le Ministre des Postes et Télécommunications a présidé une réunion à laquelle ont pris part l’ART et tous les opérateurs du secteur. L’objectif de cette réunion était  d’examiner le plan tarifaire des opérateurs et de sensibiliser ceux-ci pour une nouvelle baisse des tarifs des communications.

Au terme de cette réunion, l’ART a été instruite de commander un audit indépendant auprès des opérateurs, pour s’assurer que les tarifs appliqués par ceux-ci, reflètent les coûts. Une autre réunion est prévue dans quelques jours, au cours de laquelle les opérateurs viendront  avec des propositions concrètes.

Mais force est toutefois de relever, Honorables Députés, que pour atteindre l’objectif essentiel du Gouvernement qui est de mettre les TIC à la portée de tous les camerounais à moindre coût, les seules négociations ne suffisent pas.

A cet effet, le Gouvernement a engagé un vaste programme de modernisation de son infrastructure des télécommunications à travers  un projet de déploiement de la fibre optique sur l’ensemble du territoire national. Ce projet, qui est déjà en cours d’exécution, porte sur la pose de 3.200 kilomètres de câbles à fibre optique, portant ainsi notre réseau de câbles à fibre optique à 5.000 kilomètres.

Notre pays est aussi engagé, sous la coordination de la CEMAC, dans un projet de mise en place d’une infrastructure des télécommunications à fibre optique sous régionale de l’Afrique Centrale : il s’agit du projet Central African Backbone (CAB).

Parallèlement à ces projets de modernisation de notre infrastructure des télécommunications au niveau national et sous régional, le Cameroun est en pleine négociation avec les grandes firmes internationales des télécommunications, pour l’instauration d’un partenariat public/privé, dans le cadre de la construction des points d’atterrissement des câbles sous-marins, le long des côtes maritimes camerounaises. La construction de ces points d’atterrissement permettra  à notre pays d’augmenter la capacité de connectivité et d’augmenter ces points d’accès au réseau international. Ceci va rendre plus compétitifs les coûts de communications.Je ne saurais terminer mon propos sans signaler que le Gouvernement a entrepris la refonte du cadre juridique du secteur des télécommunications/TIC. Une nouvelle loi régissant les communications électroniques est en cours d’élaboration.

L’entrée en vigueur de cette  nouvelle  loi, va révolutionner le secteur des Télécommunications. Elle va permettre aux pouvoirs publics, dans un proche avenir, de délivrer des licences multiservices voire des réseaux de téléphonie mobile de 3ème et de 4ème génération. L’introduction des nouveaux opérateurs dans ce segment de marché de téléphonie mobile le rendra plus compétitif et baissera davantage les coûts de communications.

Je vous remercie pour votre aimable attention./-

© Correspondance : Head of the Communication Unit, Ministry of Posts and Telecommunications, Republic of Cameroon
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