31 août 2012
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Ai-Cameroun - La salle de conférence de la délégation régionale de la Promotion de la Femme et de la Famille de Bonanjo-Douala, capitale économique, a servi de cadre aux acteurs de la société civile le 9 février dernier, pour les débats en prélude à l’atelier de renforcement des capacités des Techniques de l'information et de la communication (Tic). C’est sous le thème ''Société civile camerounaise : Quelles Perspectives pour une bonne visibilité au Smsi+10'' que les Ong et associations de Douala ont consacré toute une journée aux débats qui entrent en droite ligne à travers un réseau national. Ces organisations prennent ainsi le taureau par les cornes en mettant sur pied un plan des ressources à travers lequel différentes idées concernant les Techniques de l'information et de la communication, seront étudiées pour lutter contre la pauvreté grandissante dans le pays. «Nous voulons à travers cet atelier, organiser la société civile sur les questions relatives aux technologies de l’information et de la communication (Tic) », a déclaré Michel Tchonang, membre de la société civile camerounaise, lors de son discours d’ouverture. Depuis le début des années 2000, le Cameroun et la sous région Afrique centrale ont connu avec ces nouvelles technologies, une augmentation grandissante des médias sans véritable mesure d’accompagnement pour les populations. «Nous voulons par ces débats identifiés les besoins des populations afin de les impliquer aux Tic pour une meilleure visibilité de celles-ci », a rappelé Pierre Chekem, représentant de la société civile du Littoral pour qui « L’atelier de Yaoundé aura pour but de mettre en place une plate-forme de connaissances et d’expérience. Il sera ouvert aux débats portant sur les défis auxquels la société civile est confrontée ». Le même atelier va se tenir à Yaoundé, la capitale les 23 et 24 février prochains et aura pour parrain le ministre des Postes et des Télécommunications, la société civile camerounaise qui doit représenter le Cameroun, dans les prochains mois, aux différents débats sur les Tic, avec les autres pays de l’Afrique Centrale doit mettre sur pied un réseau solide. « Notre but est d’établir des rapports de confiance entre le gouvernement, les partenaires pour appuyer et accompagner le développement des Tic », a déclaré Dora Sendè, membre du comité d’organisation dudit atelier. Sophie Dikobé, AI Douala